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running out of reasons | zaustor.↪ | Austin HemsworthAdministrateur
∞ messages : 1060 ∞ arrivé(e) le : 15/03/2014 ∞ Grain de sable : 86
What's up kangaroo ?∞ disponibilité: non. jules/bronte/taylor/coloc/violett/zach.
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∞ je suis: présent(e) | ✽ Mar 6 Mai - 22:00 | | Je laisse Dee dehors alors que je viens de fumer avec elle un joint roulé par ses doigts de fée. J'ai beau être con, on ne fume pas à l'intérieur, fait assez bon dehors et vu la taille de la terrasse, y'a pas de quoi râler. Je sers une nouvelle rangée de shots qu'on boit tous en claquant les verres lourdement sur le bar une fois vidé, comme si ce geste rendait notre dose plus forte. Je ne me suis pas sentit aussi bien depuis bien longtemps. Les pilules magique - mdma bonsoir -, l'alcool, un peu d'herbe... la combinaison parfaite. On y est presque du moins. Joshua me fait un signe de main pour y parvenir et je lâche les autres pour le suivre dans la salle de bain. Une ligne, deux. La sensation d'avoir un produit anesthésiant dans la bouche, d'avoir la gorge qui gonfle au point d'avoir du mal à avaler ma salive ne se fait pas attendre. C'est presque instantané... et sans doute pour ça que je n'ai jamais raffolé de la cocaïne. J'en prenais rarement à l'époque ou j'avais l'occasion de toucher à tout ça sans être contrôler par le club et c'est la première fois que ça pénètre dans mon système au cours de ses deux dernières années. C'est l'avantage d'organiser la fête, les gens sont plus cool et vous remercie avec ce qu'ils ont sur eux, bien que je ne doute pas que Josh' se serait montré partageur même si on avait été ailleurs. J'lui fait signe de sortir et reste un instant à la salle de bain en m'observant dans le miroir, un sourire bête au visage. J'ai un moment de bug, je ne sais même pas pourquoi je reste là et j'éclate de rire. Putin qu'on est bien. Et comme je ferai moins le malin si ça se sait... Mais non, y'a aucune raison. J'ai été contrôlé la semaine passée, faudrait un sacré manque de bol pour y repasser cette semaine. Je sors et c'est reparti pour quelques shots.
Je ne sais pas trop comment je tiens toute la soirée. J'ai quelques flashs de moi au bar, qui danse, assis sur la balancelle de la terrasse à embrasser Taylor. Je souris comme un con une nouvelle fois. Mais je ne sais pas comment j'en suis arriver là, couché dans le sable - j'ai vraiment marché jusque là?! à moitié endormi. Peut-être totalement, mais combien de temps? Je prends le chemin vers la maison, pieds nus, et longe la route, heureusement qu'on est pas loin. Le coup de barre est passé, je me sens revivre et prêt à reprendre la fête de plus belle sauf que je dois être le seul. Tout le monde s'est barré ou presque. J'ai du mal à mettre un pas devant l'autre et je bénis le dernier parti d'avoir laissé la porte ouverte, je n'aurais jamais pu trouver la serrure. Je crois reconnaître la silhouette de Zach de dos et je plonge vers lui, je n'ai confiance en personne quand je suis dans cet état. J'enroule mes bras autour de sa taille et pose la tête sur son épaule lourdement. C'est la première chose dont j'ai besoin quand j'abuse, une épaule. « J'étais à la plage putin. » Je pousse un soupire, ce mini aller-retour m'a tué, perdu. « C'est bien... C'est bien que tu sois là. » Pourquoi Zach ne serait pas là en même temps. Je relève la tête en entendant du bruit et me tourne découvrir Dee. « Dee tu t'es perdue ou tu m'attendais? » Rapport aucun, c'est normal qu'elle soit là, non? Je crois. « Je vous aime. » C'est sincère. Ces saloperies me rendent trop sincère mais qu'est ce que je les aimes... qu'est ce que je ferais sans eux? Je dépose un baiser sur la mâchoire de Zach et fini par le lâcher pour aller embrasser Taylor sans la moindre retenue. Faut que je leur prouve tout ça, je ne pourrais pas vivre sans eux.
* * *
Je tangue. J'ai l'impression de faire une chute de 20 mètres quand mon cœur rate un battement et je me cramponne. Je suis sur le ventre mon bras étendu sur un corps et cette position me donne clairement la gerbe mais je n'ai pas la force de bouger. Je grogne, garde les yeux fermés et fini par me tourner en ouvrant péniblement les yeux. La vue qui s'offre à moi me donne d'autant plus envie de vomir et je dois avaler ma salive pour ne pas le faire. Je suis inerte et tente juste de me rappeler de ce qui m'a amené dans cette putin de situation. Mais rien, le noir. Je serre la mâchoire et lève le bras de Zachary pour m'échapper de son étreinte et m'asseoir. C'est pas tant sa position qui m'inquiète, ce mec est un koala quand il dort, mais le manque de fringue ne me fait pas vraiment sourire. En revanche Taylor assise sur le bord du lit qui immerge et remonte le drap sur elle me donne envie de rire un quart de seconde. « Putin. » J'ai rien d'autres comme mot, j'ai envie de creuser mon trou et de disparaître. J'aurais pu le faire si elle n'était pas réveillée. Le pire est sans doute son petit air amusé à elle. « J'vais mourir. » Je gémis d'un air plaintif, espèrant éviter la moindre remarque au passage. Ma tête, mon estomac, mon corps, tout est douloureux. J'agonise. De honte aussi, mais j'évite de le montrer. Je tire sur un coin du drap pour cacher Zach comme si ça pouvait effacer l'image de mon réveil mais aussi lui préserver un tant soit peu d'intimité. C'est débile vu la situation mais je n'en étais pas conscient avant ce moment. 1. vous pouvez faire court, je sais pas pourquoi j'ai écrit autant 2. dans l'ordre que vous voulez 3 c'est du délire |
| Taylor DickensSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 195 ∞ arrivé(e) le : 16/03/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Ven 9 Mai - 21:40 | |
La fumée de son joint s’échappe délicatement de ses lèvres, tandis que celles d’Austin parcourent son cou. Jusqu’à ce qu’elle ne lui tende son précieux. Elle finit par s’écrouler dans le sable, alors que le footballeur s’évanouit Dieu seul sait où. Une nuit étoilée. C’est sublime. Mais ça pourrait l’être encore plus. Elle a besoin d’alcool. Encore. Un autre shoot ou même plusieurs. Elle maudit Leif de ne pas être là. Une fois de plus, elle doit faire sans coke. Et elle lui en veut. Ca fait bien deux semaines qu’elle n’y a pas touché. Un laps de temps étrangement long. Oui, elle le maudissait. Mais elle devait bouger de là. Malgré la douceur de cette soirée, elle n’était pas tellement réchauffée. Son corps n’avait visiblement pas ingurgité tant de substances que ça. Elle avait besoin de plus. Toujours plus. De tout. Un séduisant étranger s’avança, planta son regard dans le sien et se laissa tomber à côté d’elle. Il souriait comme un imbécile heureux. Mais il était plutôt mignon. Plus que ça même. « T’es belle. » elle se retint de ne pas lui dire ‘je sais oui.’ Elle ne répondit pas qu’il lui tendait la main, qu’il ouvrit, pour laisser apparaitre deux petites pilules qu’elle reconnut sans difficultés : de l’ecsta. Un large sourire s’afficha sur ses lèvres, comme si le père Noël venait de lui offrir le meilleur des cadeaux. Il s’approcha un peu plus, se tourna légèrement avant de poser l’une de ses mains sur sa hanche. Taylor le dévisagea et bougea sa main sans détachement. « Je t’offre une bière si tu veux. Pour te remercier. Mon corps, rêve pas. » dit-elle en réussissant à se lever par un merveilleux miracle. Et puis ce soir, elle pense trop à Austin pour se taper quelqu’un d’autre, surtout un qui ne lui arriverait clairement pas à la cheville. Elle prenait le chemin de la maison, chancelante, mais prête à subir une autre tournée. Après tout, elle était là pour ça. La plupart des gens étaient partis. Et les autres, et bien, ils étaient prêts pour faire la même chose. L’état dans lequel elle était, était plus qu’étrange. Elle se sentait complètement amorphe, et pourtant, une certaine excitation lui donnait envie de continuer à s’amuser, de danser, de crier, et de se défoncer. Mais pour le moment, elle était assise en tailleur, en tête à tête avec trois shoots de vodka fraise. Elle semblait pleine réflexion. Ou alors totalement hypnotisé. Et puis elle descendit les verres un à un, avant de les empiler, et de passer machinalement son avant-bras sur sa bouche. Elle se releva, non sans mal, et tituba avant de rigoler. Elle aperçut Zach, et sourit en voyant son état. Aussi pathétique qu’elle. Mais il était beau. Toujours aussi beau. C’est lorsqu’elle se demanda où pouvait bien être Austin, qu’il se décida à faire son apparition, plongeant sans la moindre retenue sur Zach. Elle se serra un fond de whisky, et fait claquer la bouteille sur le plan de travail avant de descendre son verre d’une traite. « Dee tu t'es perdue ou tu m'attendais? » Elle haussa les épaules. « Un peu des deux je crois. » En fait, elle n’en avait pas la moindre idée. C’est vrai qu’elle se sentait perdue. Et un peu abandonnée pour le coup. Elle s’était habituée à ses caresses, et à ses baisers dont il couvrait régulièrement son cou. « Je vous aime. » Elle sourit. Pas un sourire de débile heureuse bourrée –quoique peut-être un peu-, non, un sourire sincère. Il déposa un baiser sur la machoire de Zach, qu’elle ne peut s’empêcher de trouver totalement craquant. Et puis il s’avança vers elle, l’embrassant sans la moindre retenue. Elle ne se fit pas prier. Elle avait besoin de ressentir une nouvelle cette chaleur grandir et remonter en elle. Une fois de plus. Elle tendit alors sa main ers Zach, pour le rapprocher. Elle passa son bras autour de sa taille en détachant ses lèvres de celles d'Hemsworth. ~ Un rêve. Un doux rêve. Non, du tout. Torride, hot, chaud, érotique, sensuel, mais pas doux. Un rêve ? Les quelques douleurs musculaires qu’elle commence à sentir lui font comprendre que ce n’était sans doute pas qu’un rêve. Elle émerge lentement, mais surement pas doucement. Sa tête lui fait un mal de chien. Putain qu’elle déteste le matin. Gueule de bois ou pas d’ailleurs. Elle bouge légèrement et sent un corps à côté d’elle. Elle fronce les sourcils en essayant de se remémorer ça. Oh. Ce n’était donc pas un rêve. Ça y ressemble pourtant. C’est flou, vague. Des flashs plus que de réels souvenirs. Dee se mord la lèvre inférieure pour ne pas éclater de rire. Elle osa un coup d’œil. Austin est réveillé. Elle a envie de rigoler, elle doit se retenir. Mais elle aussi envie de lui sauter dessus. Mauvais plan. Elle se relève tant bien que mal, grimaçant en plaquant sa main tant la migraine est violente. Elle remonte le drap sur elle. Pudique maintenant ? Peut-être un peu. « Putin. J’vais mourir. » Elle plaque sa main contre sa bouche pour retenir le fou rire qui lui voyant Austin recouvrir Zach du drap qu’ils partageaient. Elle aurait dû filmer ça. Pas les ébats dont elle avait de vagues souvenirs, mais ce réveil hilarant. « Il y a un bon moyen de faire passer la gueule de bois tu sais… » dit-elle doucement, pleine de sous-entendu. Elle n’est pas totalement sérieuse. –pas totalement- elle se retient surtout de ne pas rigoler, encore et toujours. Elle a juste envie de le torturer un peu. Le tour de Zach viendra, une fois que Seepy Head leur aura fait l’honneur d’émerger.
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| Zachary DavenportAdministrateur
∞ messages : 656 ∞ arrivé(e) le : 18/03/2014 ∞ Grain de sable : 43
| ✽ Jeu 15 Mai - 15:26 | | « J’y crois pas… c’est tellement débile. » je ris, gêné par la situation. Contre moi, la jolie brune laisse ses mains se balader sur mon torse. Je ne suis pas sûr de me rappeler son prénom mais je suis presque sûr que cela n’a aucune espèce d’importance. Après tout, la jolie demoiselle m’a très bien fait comprendre que les relations à long terme n’étaient pas son genre. Tout ce qui l’intéresse, elle, c’est de prendre son pied. Ce qui explique pourquoi elle a tenu à m’enfermer dans le placard d’Austin. J’aurais préféré ne pas faire ça dans la chambre de mon meilleur ami mais comme on dit : ce qu’Austin ignore ne peut pas lui faire de mal. Décidé à profiter de la soirée, j’embrasse ma jolie brune, ses lèvres ont un arrière-gout d’alcool et je trouve ça plutôt excitant « Je vais te faire de ces choses… » Je rougis. Je n’ai pas l’habitude d’être chauffer aussi ouvertement… ça change des repas en tête à tête et des sorties en amoureux, ça c’est sûr. La brunette sourit et finit par me mordre la lèvre inférieure. Sa bouche finie par descendre le long de ma mâchoire pour finalement s’arrêter sur mon épaule gauche. Elle me mort, je me mets à rire. J’ai beau ne pas être puceau, j’ai toujours du mal à gérer les situations de ce genre. La meuf est plus chaude que moi et j’ai du mal à la laisser prendre le contrôle. « Laisse-toi aller bébé… » Oui non, alors ça non. J’ai beau être bourré, je ne supporte pas qu’on m’appelle bébé. Presque instinctivement, je la repousse. « Et si on s’arrêtait là ? » La fille écarquille les yeux. Je ne comprends pas trop pourquoi ? Je n’ai pas été vulgaire, je n’ai pas été blessant. Du moins je crois… « Non mais attends, tu rigoles là pas vrai ? Tu me chauffes et au final, tu me dis qu’il va rien se passer ? Petit con ! » Folle de rage, la brunette défoncer la porte du placard et se dirige droit vers la sortie – tout en prenant soin de remettre ses bretelles en place. On est où là ? Dans la troisième dimension ? Depuis quand les meufs sortent ce genre de truc ? Vive les meufs romantiques, c’est moi qui vous le dit !
Je reviens dans le salon en me caressant le cou. Cette conne m’a fait des suçons. Je sais pas pourquoi mais j’ai l’étrange impression d’avoir été pris pour un gigolo. L’espace d’un instant j’ai vécu dans la peau d’Ursula, quarante-ans, femme de joie professionnelle depuis 1860. Je rigole tout seul à ma propre petite blague et me sers un autre verre. Je suis encore beaucoup trop clean pour ce genre de connerie. Heureusement, l’alcool, les pilules et l’herbe que j’ai fumée commencent à faire leurs effets. D’ici quelques minutes j’aurai rejoint le reste de mes camarades et je pourrai m’autoriser quelques aventures au pays de la gigoloterie.
Bon, là je pense qu’on est arrivé au point de non-retour. Affalé sur quelque chose (ou quelqu’un) de doux et moelleux, je suis à deux doigts de me laisser sombrer dans les bras de Morphée. Mais faut que je lutte. Je ne veux pas être le gros relou de la soirée qui s’endort en plein milieu pour la simple et bonne raison qu’il a été abandonné. Purée, j’ai tellement envie d’un câlin… où est donc passé mon nounours préféré ? Où est donc Austin ? J’ai besoin de mes câlins. Comme une moule à la recherche de son rocher, je déambule dans la maison presque vide. Où sont les gens ? Partis ? Déjà ? Non pas possible… sérieux ? Bon d’accord. Bon bah, il reste plus qu’à faire avec. Du coin de mon petit œil je remarque Taylor. Elle est jolie, très jolie. Bon certes elle a l’air complétement défoncée, mais ça lui donne un charme… genre « tigresse en retour de baise ». J’aurais bien voulu lui dire mais on se jette sur moi. Enfin. Enfin je retrouve mon ancre. Tout content de retrouver mon Austin, je pose mes mains sur les siennes et laisse ma tête tomber contre la sienne. Ça aurait surement fait mal si on n’était pas tous les deux bourrés. « Je vous aime. » Je souris. Il m’embrasse sur la mâchoire. Je souris encore un peu plus. Puis il m’abandonne et là, c’est la désillusion. Je fais mon petit malheureux. Quand il finit par lécher la poire de Taylor… je trouve ça excitant. Bloody Hell, je dois vraiment être déchiré pour trouver ça excitant. En temps normal, je me serais contenté de faire mon jaloux. Et quand Taylor me tend la main… là j’ai l’impression d’être un gamin. Un gamin dépourvu de bon sens puisque je décide de les rejoindre.
*** Le retour à la réalité est difficile. Mais genre méga difficile. J’ai l’impression d’être passé sous un rouleau compresseur. Mal à l’aise sous ma propre peau, je vire je tourne essayant de trouver une position qui pourrait arranger la situation. Malheureusement ça ne fait que l’empirer. Je ne remarque pas tout de suite que je suis nu comme un ver. J’aurais très bien pu être recouvert de chocolat que je ne le remarquerais pas. D’abord parce que mon cerveau était bien trop atteint pour s’en rendre compte. Ensuite parce que mon mal être intérieur surpasse largement mon étrange impression de « liberté ». Après plusieurs minutes à me concentrer sur mon estomac. - mes pensées se limitant essentiellement à « Ne pas vomir, ne pas vomir, pitié ne pas vomir », je finis par repérer la voix d’Austin. Soulagement. Au moins je suis toujours chez lui. Faut dire que ça ne serait pas la première fois que je me réveille chez un inconnu. D’habitude Austin fait en sorte que je ne me perde pas, mais un moment d’égarement et tu me revois plus ! Oui, bourré je suis comme un gamin. Vaut mieux garder un œil sur moi sous peine de me voir disparaitre. « Il y a un bon moyen de faire passer la gueule de bois tu sais… » Petit moment de réflexion. D’abord reconnaitre la voix. Ensuite se remettre en situation. Je n’ai aucun souvenir de la nuit précédente si ce n’est quelques images ici et là. Je me souviens de la brunette et de ses jolis yeux. De l’herbe, des pilules et de l’alcool – mauvaise idée ce mélange soit dit en passant… puis plus rien. Alors certes, je n’ai rien contre le fait de faire chambre commune mais peu à peu je me rends compte de la situation. Surtout de la sensation des draps sur mon corps nu. Dormir avec Austin : check (depuis longtemps même). Embrasser Austin : check aussi. Dormir nu avec Austin, ça c’est une première. Et c’est sans oublier Taylor. Et puis que me dit qu’il n’y a personne d’autre. Genre Pierre, Paul et Jacques nous ont-ils, eux aussi, rejoins ? Bon bah, j’imagine qu’il est temps de montrer signe de vie. Je ne sais pas trop quoi faire mais je sais une chose : si je reste une seconde de plus en position allongé, je vais dégueuler.
Je me redresse donc et laisse tomber le drap qu’on m’a posé sur le dos. « Vous ne voulez pas la fermer, j’ai un putain de mal de tronche. » Autour de moi tout tourne. J’ai l’impression d’être de retour dans le Space Mountain à Disneyland Paris. Et y penser est une très mauvaise idée. Décidé à me faire payer mes erreurs de la veille mon estomac tressaute et vire ses habitants. Comme un dératé, je m’extirpe du lit, tombe par terre, me redresse tant bien que mal et court droit vers les chiottes. Savoir que j’ai potentiellement couché avec Austin et Taylor n’arrange rien à la situation. A peine arrivé au-dessus des chiottes, je vomis tout ce que j’ai à vomir et plus encore. Quel con !
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| Austin HemsworthAdministrateur
∞ messages : 1060 ∞ arrivé(e) le : 15/03/2014 ∞ Grain de sable : 86
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∞ je suis: présent(e) | ✽ Dim 18 Mai - 10:34 | | J'essaye de terminer ce qui me fait le plus mal mais je n'y parviens pas. Mon estomac se trouve entre les mains d'Hulk qui joue avec comme de la pâte à modeler, pendant que quelqu'un d'autre s'applique à me donner des coup de batte de baseball - au minimum - en plein crane. Ma mâchoire me cause pas mal de peine également, mais j'y ai pris l'habitude à force de prendre de l'ecsta. Je tente de faire quelques mouvement comme si je chiquais et je grimace, ça ne passera pas avant ce soir, je le sais parfaitement. Dee se retient de rire, quoi que je ne suis même pas certain qu'elle essaye réellement de cacher son amusement, et je la fusille du regard. « Il y a un bon moyen de faire passer la gueule de bois tu sais… » Je lève les yeux au ciel et me laisse retomber contre l'oreiller, mes yeux trouvant à nouveau un grand intérêt au plafond. J'aurais adorer qu'elle me dise ça et qu'on se lance dans de petits câlins matinaux, histoire d'avoir au moins un souvenir de ma peau sur la sienne, si on était seuls. Si. Je n'ai pas le temps d'y réfléchir plus que Zach immerge... ça aussi j'aurais pu l'éviter, genre en courant loin de cette chambre et en séquestrant Taylor pour qu'elle ne parle pas. Le drap que je lui ai mis tombe et me retient de rire à mon tour quand il ouvre la bouche. « Vous ne voulez pas la fermer, j’ai un putain de mal de tronche. » Ouai, moi aussi. Mais un mot ou deux n'y changera pas grand chose! Je le vois tomber sans avoir le temps de l'aider à se relever, il le fait de lui même et court à la sale de bain. Pitié faites qu'on entende rien ou je vais m'y mettre moi aussi, je lutte déjà pour ne pas le rejoindre, si un seul son me parvient... La salive me vient à la bouche rien qu'à cette pensée, je déglutis pour empêcher ça d'arriver et me concentre sur la situation actuelle. Dee et moi. Je rampe péniblement dans le lit jusqu'à elle et passe mes bras autour de sa taille pour venir coller son dos contre ma poitrine en enfuyant ma tête dans son cou que j'embrasse. Je ne perds pas totalement le nord bien que j'ai plus l'air d'un enfant en manque de tendresse que d'un mec qui veut la sauter. Mes doigts finissent néanmoins par se perdre, légers, sur son corps parfait, longeant la courbe de sa poitrine pour descendre sur ses hanches et finir dans le bas de son ventre. J'ai tellement envie d'elle là tout de suite - ce dont elle n'ignore rien collée ainsi à moi - que j'en oublierais que nous ne somme pas seul. Si ce n'était pas Zach, je pense que je n'hésiterais pas à l'enfermer dans la salle de bain le temps que j'ai ce que je veux. Une image me revient et je serre les dents. Rassuré, vu son corps entre celui de mon meilleur ami et du mien mais un brin agacé malgré tout. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'est de la jalousie mais Zach qui la touche... Je secoue la tête et prie pour ne pas avoir d'autres flashs. Un m'a suffit. Je pousse un grognement plaintif et me redresse, déposant un baiser sur sa mâchoire. « T'as intérêt à me garder un moment à moi plus tard. » Je m'extirpe difficilement et plonge ma main dans mon tiroir de sous-vêtements pour enfiler un caleçon et quitter la chambre.
Projet X. La maison est dans un état apocalyptique, j'ai juste envie de retourner me coucher, enfuir ma tête sous les draps et attendre qu'on vienne me dire que tout est rangé. Je passe ma tête sous le robinet pour boire et rempli un autre verre avant de prendre un chewing gum pour aider ma mâchoire. Le gout de la menthe sur ma langue me donne l'impression de soulager mon estomac en même temps. Le verre à la main, je me rends à la salle de bain et me laisse glisser contre le meuble pour finir assis par terre dos à celui-ci. Je presse ma main sur l'épaule de Zachary, compatissant, et lui tend le verre d'eau, sans savoir si ça va lui faire du bien ou être pire. Je ne sais même pas ce que je fou là, soutiens moral ou peut-être que j'espère juste vomir en le regardant pour me sentir mieux après. J'attends la douche aussi. En fait, j'ai pas mal de raisons pour être là. Je lance ma tête en arrière pour appuyer celle-ci contre le meuble. « T'imagines pas l'état de la maison... Si Bee débarque, ma vie est finie. » Bon j'exagère, ma sœur n'est pas du genre maniaque et elle sait le bordel que peut foutre une soirée. C'est pas la première fois que la maison se retrouve sans dessus dessous mais là, on bat des records. Je garde un espoir qu'on aie rien cassé, j'ai pas vraiment pris le temps de vérifier. |
| Taylor DickensSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 195 ∞ arrivé(e) le : 16/03/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 21 Mai - 21:05 | |
La gamine ne perd définitivement pas le nord. Pas même après une nuit comme celle qu’elle vient de passer. Pour ce qu’elle s’en souvient. Pas même après avoir fait vivre l’enfer à son foie. Elle est jeune, elle en profite et elle vit à fond. Elle se souciera de sa santé plus tard. Quand elle sera vieillie, ridée et qu’elle n’aura plus que ça à faire. « Vous ne voulez pas la fermer, j’ai un putain de mal de tronche. » Dee ne put s’empêcher d’éclater de rire. « Petit joueur… » lacha-t-elle à l’adresse de Zach et de son mal de crâne. Oui bon, elle avait peut-être l’air mieux qu’eux deux ce matin, mais ce n’était pas toujours le cas. Seulement, elle allait prendre un malin plaisir à leur rappeler –à tous deux- cette soirée inoubliable. Quoique, pas si inoubliable que ça vu le peu de souvenirs qu’ils en avaient. Zach fonça jusqu’à la salle de bain, et Dee ferma les yeux, priant pour ne rien entendre. Elle n’allait pas trop mal. Du moins, elle n’avait pas envie de vomir pour le moment. Sauf que si elle entendant Zach, ça n’allait pas arranger son cas. Une grimace s’installe sur son joli minois et secoue la tête en essayant de se concentrer sur autre chose. Autre chose que les bruits qui lui parvenaient de la salle de bain. Glamour. Elle n’eut pas besoin d’attendre bien longtemps. Elle sent rapidement des bras se refermer autour de sa taille. Elle sourit, sachant pertinemment qu’il s’agit des bras d’Austin. Elle frémit en sentant le corps encore chaud du footballeur contre le sien. Il enfouit sa tête dans son cou, et elle glisse ses mains le long de ses bras, prête à remette le couvert. Si seulement il n’y avait pas Zach en train de gerber dans la pièce d’à côté. Fuck. Non clairement, ça se fait pas. Quoique… Peut-être que si ça avait été Summer dans la pièce d’à côté, Dee ne se serait pas gênée. Bien au contraire. Bitch vous dites ? Du tout… Elle laisse sa tête retomber en arrière, sur l’épaule d’Austin, profitant de l’agréable sensation de ses doigts qui parcourent doucement son corps. Elle se sent frissonner. Déjà excitée à l’idée d’une exploration plus profonde. « T'as intérêt à me garder un moment à moi plus tard. » Un sourire amusé se dessine sur ses lèvres alors qu’il s’éloigne déjà. Elle soupire, résignée à ce qu’il ne se passe rien de plus pour le moment. « Quand tu veux… » lance-t-elle en tournant la tête vers Hemsworth. « Serais-tu possessif ? Simple curiosité évidemment… » rajoute-t-elle en se mordillant la lèvre inférieure, avant de hausser les épaules. Non, ta tête innocente ne marche plus depuis bien longtemps avec lui. Elle fronce les sourcils en voyant Austin sortir de la chambre. Ca semble bien vite maintenant. Et qu’est-ce qu’ils foutent ? Il aide Zach à gerber ? Ou ils remettent ça sans elle ? No way. La gamine attrape ses sous-vêtements qu’elle enfile et se lève du lit. Se trimballer en sous-vêtements est une véritable habitude. Et puis, elle n’allait définitivement pas devenir pudique maintenant. Elle passe par la cuisine et s’arrête nette. Un véritable bordel. Et encore, le mot est faible. Existe-t-il des femmes de ménage spéciales après soirée ? Ce serait bien pratique. Elle ouvre le frigo et se sert un verre de jus d’orange. Elle est à la limite de vomir lorsqu’elle aperçoit une bouteille de vodka. Non, c’est bien trop tôt là. Y repenser ne la rend que plus nauséeuse. Pas sûr que le jus d’orange soit bien en fin de compte. Ca semble fade sans vodka. Et ça lui rappelle aussi la veille. Eurk. Elle finit par se diriger vers la salle de bain et s’appuie dans l’encadrement de la porte. « Pendant dix secondes, j’ai cru que vous remettiez ça. Sans moi. » dit-elle en fronçant les sourcils. « Je vous le dis tout de suite : ça l’aurait pas fait ! » Evidemment, elle n’était qu’à moitié sérieuse. Et puis, tout comme elle ne s’imaginait pas se taper Austin alors que Zach était là, elle les imaginait mal faire quoique ce soit avec elle toujours dans la maison. Et puis… Bien qu’elle se gardait de leur dire, ce n’était pas comme s’ils s’étaient franchement touchés cette nuit. Seulement, l’idée de leur faire imaginer le contraire était bien trop drôle. « C’est la queue pour la douche ou Zach est devenue une inspiration pour te faire sortir ce que t’as dans le ventre ? » Elle pose son regard sur Zach. C’est vrai qu’il avait une meilleure gueule hier soir. Un peu floue certes, mais quand même.
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