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 > merci la gueuse. Tu es un laideron, mais tu es bien bonne.

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✽ Mar 24 Déc - 19:40

(ordre de passage : Dany - Alex - Caesar - Timy - Charlie. Si ça ne vous convient pas, allez vous faire n'hésitez pas à me le dire.  > merci la gueuse. Tu es un laideron, mais tu es bien bonne.  424542838 )

Surry Hills Police Station, 5h 03.
Frappant le sol d’une même rythmique, tu gisais là sur le sol crasseux d’une cellule sordide. Le bras cachant la partie supérieure de ton visage, tu semblais calancher tes dernières minutes de vie. L’odeur invective de l’alcool emplissait déjà les lieux tandis que de nouveaux arrivants prenaient leurs quartiers dans les cellules adjacentes. Tu les entendais brailler comme des porcs ou insulter mère nature de leur misérable condition. « – Bordel. Esseulé dans ta cellule, tu avais prononcé ces quelques syllabes dans un râle résigné.  Soupirant une dernière fois, tu jettes ton bras sur le sol découvrant un minois aux traits tirés et une mine dévergonde. L’œil tuméfié te rendant plus honneur encore. Tu clignes des yeux. L’humeur bien sombre, tu te mordis la lèvre inférieure. Ton agacement était palpable car tu te savais misérable. La bagarre générale qui avait pris ces quartiers n’en était pas tant la raison, quoi que la raison de ta présence en ces lieux ; après tout, quand il s’agissait de ruade de poing, tu étais toujours le premier à t’y jeter sans ménagement. Non, c’était plutôt le fait de t’avoir été coincé par les flics. Fierté écrasée, dignité oubliée. Oh et puis, qu’importe ! Habitué tu étais, habitué tu resteras alors ferme ton clapet.
A la réminiscence  de l’altercation entre ivrognes, fruit d’houleuses rencontres, tu te rendis compte que la soirée avait pourtant si bien commencée pour qu’elle en finisse de cette manière. La raison étant bien futile en vérité, tu t’étais retrouvé au milieu, dansant de toute l’élégance qu’il est possible d’avoir, de tes poings et de tout ce qui passait sous ta main aussi. Il va s’en dire que la verrerie de l’établissement y été passé. Tu te souviens de Caesar, présent également sur les lieux. Plus que présent en réalité, puisqu’il fut l’un des premiers à déclencher le cataclysme qui suivit. Pour la suite, tu n’en connaissais rien.
Te relevant lentement, tu grimaçais ; ton putain d’œil te faisait un mal de chien. Aussitôt, tu maudissais le barman du club. Celui-là, tu le raterais pas la prochaine fois que tu le recroiserais.. Quel destin ironique. Si tu savais ce qui allait t’attendre.
Tandis que tu te relevais avec une légère précarité, tu entendis des pas venir par ici. Tiens, voilà les derniers ivrognes arrêtés. Bientôt, un flic s’arrête à ta cellule ; fallait bien finir par avoir de la compagnie. T’asseyant sur le banc, tu ne pris pas de suite la peine de jeter un coup d’œil à ton nouveau compagnon de cellule.. bien que tu aurais dû. Le reconnaissant, tu dépeins une mine assassine. Enjoignant le flic qui lui hottait déjà les menottes, tu tentas sur un air qui s'entendit ironiquement résigné.
Non sérieux... Vous voulez pas l’échanger avec un autre merdeux ? la porte de la cellule refermée, le flic au regard bien morne, te répondit par un simple – La ferme, Dany. » avant de partir s’occuper des autres dans une cadence lourde. Quant à toi, tu n’avais pas lâché du regard le nouvel arrivant. Peut-être que ta revanche s’annonçait plus prématurée que prévu.
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✽ Mer 25 Déc - 1:26


 


∞ merci la gueuse.
Tu sens ta peau brûler sous le frottement pourtant glacial des bracelets de fer. Ton poignet de lance, provoquant une douleur d'une intensité rarement ressentie. La dernière fois qu'il t'était arrivé de te blesser ainsi une femme avait finie dans une très mauvaise posture. Et maintenant ? Tu te retrouvais dans le bureau d'une bande de flics incapables tout ça parce qu'un client était parvenu à t'énerver. Tu le sais pourtant qu'il faut rester calme face à ces ivrognes, qu'ils n'en valent pas la peine. Tu as préféré perdre ton job pour te venger de quelques mots haineux échangés de l'autre coté du comptoir. Et maintenant ? Maintenant tu regrettes, parce que tes empruntes sont surement dans le fichier fédéral, que tu es sans doute recherché un peu partout sur la planète et que tu n'as même pas réussi à briser les os des autres hommes. Tu t'es juste mis dans la merde, alors tu grognes. Et ça les fait rire, ces flics qui ne comprennent pas qu'un type aussi louche que toi fassent tout pour s'attirer les emmerdes. Le gamin fraîchement revenu, au passé trouble et à la droite féroce. Au moins l'autre type a morflé ça tu en es sur. Ça te fait même sourire que d'imaginer l'état de sa tronche maintenant. Un petit relooking ne lui fera pas de mal. Tout ce qui t'embête, c'est de savoir que tu vas perdre ta situation pénard à cause d'une bande de jeunes cons. Pourquoi es générations te suivant te semblent si stupides ? Tu n'en sais trop rien, mais tu es sur qu'ils courent à leur perte. Après tout, n'as-tu pas couru à la tienne au même âge ? Y penser te fait mal au crane alors que ton poignet te lance, toujours. Tu as du te froisser un truc en frappant, c'est pas possible. Ça te fait un mal de chien mais tu ne dis rien, tu sers les dents et tu hausses les épaules pour répondre aux questions des flics. Ils semblent plus coopératifs pourtant, puisque aucun ne cherche à en savoir plus sur toi. Finalement, après t'avoir procuré un peu de glace pour ton poignet violacé, ils te font te lever. Direction les cellules, histoire de calmer l'ambiance. Bonne idée que tu penses, un peu de repos enfin offert. Tu les laisse t'emmener, après tout cela aurait pu être tellement pire. tu t'étais déjà figuré par le passé ce moment terrible où ils remontraient jusqu’à toi. Le jour où ils viendraient te chercher au boulot, t'annonçant l'atroce chose que tu as commise, ou peu être juste imaginée. Tu l'as toujours su que ce jour arriverait, et tu as beau le redouter tu ne fais rien pour l'éloigner de toi. Une bagarre dans un bar, vraiment ? Ça ne te ressemble tellement pas. Enfin, ça ne te ressemblait pas surtout. Mais après tout, qui sait encore à quoi tu ressemblais il y a encore quelques temps ? Tu t'en fiche tellement de cette apparence que tu te trimbales, tes tatouages et tes joues pas rasés appelant aux clichés plus que tu ne l'aurais voulu. Ce que tu es tout le monde s'en tape de toute façon, pourquoi lutter ? Tout ce qui t'importe, c'est de ne plus te faire remarquer si bêtement. Parce que ça, sa craint. Tu es sur de toi, tu veux t'asseoir dans ta jolie cellule et attendre le petit jour pour rentrer chez toi, prendre la douche que tu mérites tant. Tu y es presque, la porte est devant toi. De l'autre coté des barreaux ? Lui. Les cheveux en batailles, l’œil au contour violacé, la mise énervée. Tu ne peux pas t'empêcher de sourire alors qu'on t'enlève les menottes. Te foutre dans la même pièce, ils sont sérieux ? Même lui semble incrédule quant à la situation complètement grotesque. « Moi aussi j'suis ravi de te revoir. » Lui adressant un beau sourire d'emmerdeur, tu te laisse tomber sur la banquette dure, massant légèrement ton poignet endoloris, les yeux rivés sur lui. « Sympa ton œil, c'est la nouvelle mode chez les jeunes ? Pas très régulier par contre, ça manque de... symétrie. » Lui faire le second œil, comme c'est tentant. Mais tu le sais, si tu le touches tu vas avoir plus d'emmerdes encore. Tu préfère t'affaler contre le mur, ça te parait plus logique de te laisser sombrer dans un semi coma plutôt que de lutter contre toi même, chassant tes démons en puisant dans ceux des autres.



ps: j'ai fait en tu, parce que ça fait accordé .-. j'espère que ce n'est pas trop long.
pps: je sais, 2h30 du mat le soir de noël ça fait nolife What a Face

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✽ Mer 25 Déc - 11:54

Surry Hills Police Station, 5h 03.
Etalé sur le sol froid et crasseux, oui bel et bien crasseux, avec une chance inouïe, t'as eu le temps d'examiner en profondeur les méandres de ta cellule où les mégots, les papiers, et les capotes trainent. Tiens, des capotes, tu n'as jamais eu l'occasion d'entrainer une pute dans le coin, à noter. T'as la tête en feu, t'as juste envie de dégueuler sur le premier venu, et le poulet qui monte la garde semble être une bonne alternative. Autour de toi que des chieurs de base, heureusement Dany remonte le niveau. Quand tu penses que ton boss est dans la cellule, t'as juste envie de le prendre en photo, tu verrais ça tête, pauvre type, habillé comme M. je me prends pas pour de la merde entouré du bas peuple. La roue tourne, et tu vas la sentir passer mon vieux. La soirée semble si loin, et pourtant, tu sens l'alcool à plein nez et les odeurs de clope ou plutôt de ganja n'arrangent rien au tableau, un  nouveau parfum très à la mode. Mais putain, t'es dans la merde, un petit test et c'est parti pour le trou. Les flics, t'as jamais pu les voir en peinture, des mecs qui se pensent supérieur à toi, mais merde, ils se rendent pas compte de leur débilité, tu vas devoir remettre les choses au clair. "Le petit gros, oui toi, fais pas genre que tu m'entends pas !" Oué oué, un gros loubard sourd et carrément pas à sa place. Tu le chopes, tu lui fais la tête au carré. Toujours étalé sur le sol, tu te relèves péniblement, mais t'as réussi du premier coup, grand garçon que tu es. Ta tête tourne un peu, peut-être trop, tu te rattrapes sur Dany. "Putain, mais on m'a drogué ou quoi ?" Non, non tu t'es drogué tout seul, mec. D'ailleurs, tu le fais très bien, pas besoin des autres. "Tu m'expliques ce qu'on fait là ?" Dany semblait autant dans les vapes que toi, à quoi mettre un dialogue en place.  « Sympa ton œil, c'est la nouvelle mode chez les jeunes ? Pas très régulier par contre, ça manque de... symétrie. » C'qui lui ? Il se prend pas pour de la merde non plus, en plus de ça, il fait son beau, tin' mais il a un problème sérieux. "Ta gueule,  personne te parle à toi, t'es qui d'ailleurs ? Je te connais pas, moi, alors un peu de respect, et tu l'as ferme, sinon je vais te la fermer ta grande gueule" Allez, ça c'est fait. Sinon, t'es vraiment quelqu'un d'adorable, grosse blague, même toi tu ris de tes propres conneries. Finalement, tu détournes la tête, et là, tu vois une meuf, et putain, elle est bonne, mais elle fait tâche dans le décor, à croire qu'elle ne sait pas non plus ce qu'elle fait là. T'as plus de souvenir de la soirée, juste des flashs de temps en temps, t'as bu comme un salaud, t'as chauffé tout ce qui ressemblait à une meuf potable, et après, baston, mais entre qui et qui, va savoir ... Ah mais putain, t'es sans doute dans le coup, pas possible que tu loupes le fight. Tu examines rapidement ta dégaine, et là, rien alors que Dany se trimballe avec son yeux noir. Bon, mystère. T'approche donc de la meuf, en mode "mais j'y suis pour rien", genre. "Alors, qu'est ce que tu as bien plus faire pour te retrouver là, hein" petit clin d'œil furtif. "Et le gros lard, je te propose un échange, moi contre elle, regarde elle est appétissante, tu pourrais d'amuser avec elle" Les autres te regardent, et alors, comme si tu avais la moindre honte. Toi, t'es Caesar et t'emmerde ton propre monde sauf peut-être Dany qui mérite presque une poche de glace.
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✽ Jeu 26 Déc - 16:26

Tu sais pas trop ce que tu fous là, c'est pas ton genre de te retrouver derrière les barreaux d'une cellule, encore moins lorsqu'il s'agit d'une bagarre dans un bar. D'habitude, quand tu as des emmerdes, tu paies des mecs pour taper sur d'autres, cette fois, abruti par l'alcool, tu n'as rien calculé et tu as juste tapé comme un con sur la gueule d'un pauvre raté. Tu ne sais pas grand chose de ce qui a bien pu se passer ce soir-là. Tu ne sais même pas quel a été l'élément déclencheur. Y avait Alex, ton meilleur pote, ton coloc et c'est tout ce dont tu te rappelle. Silencieux, appuyé contre l'un des murs, tu reste muet. Tu ne vas quand même pas faire la causette avec ces gens-là ...T'as bien essayé de payer les flics pour qu'ils te laissent sortir mais ils ont rien voulu entendre. Ils te prennent pour l'un de ces pauvres mecs et ça t'énerve. Ça t'énerve mais bien entendu, tu ne le montre pas. Un mec vêtu d'un si beau costume doit savoir se tenir n'est-ce pas ? Tu souffles, tu patientes, ça t'exaspère. Puis un autre homme vous rejoins et tu reconnais les traits de ton meilleur ami. Un sourire de satisfaction, un sourire un peu hautain reprend sa place sur ton visage. Tu n'es plus seul et c'est une bonne nouvelle. « Sympa ton œil, c'est la nouvelle mode chez les jeunes ? Pas très régulier par contre, ça manque de... symétrie. » Tu ne peux pas t'empêcher de ricaner aux paroles d'Alex, faut dire qu'il ne l'a pas loupé et que ce gars risque de garder cette marque un bon moment. Il avait qu'à pas faire chier aussi ... "Ta gueule, personne te parle à toi, t'es qui d'ailleurs ? Je te connais pas, moi, alors un peu de respect, et tu l'as ferme, sinon je vais te la fermer ta grande gueule" Tu tournes la tête vers ce mec et tu le reconnais. D'ailleurs tu te rappelles aussi de lui dans ce bar. Il bosse pour toi. L'une des nombreuses putes que tu engages. Tu roules des yeux et le dévisage un instant avant de prendre la parole « Fous-lui la paix. On t'as rien demandé à toi. » Tu remarques également qu'une jeune femme vous accompagne. La pauvre, elle doit certainement pas mérité sa punition. "Et le gros lard, je te propose un échange, moi contre elle, regarde elle est appétissante, tu pourrais d'amuser avec elle" Et voilà, faut encore que ce soit lui qui ouvre sa gueule. Il t'exaspère ce mec. Il t'insupporte même un peu. Si il te rapportait pas autant de fric, tu l'aurais déjà sans doute expédié en Russie, sans le ticket du retour. « Pourtant c'est toi qui a l'habitude de donner ton cul en échange de fric ... Alors je suppose que tu n'es pas à un sacrifice prêt » Tu rejoins alors Alex « La prochaine fois, m'embarque pas dans un coup foireux comme celui-là » que tu lui murmures avant d'aller t'asseoir un peu plus loin.
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✽ Dim 29 Déc - 16:34

When nothing goes right, go left.
( i'm wasting my young years, it doesn't matter )
> merci la gueuse. Tu es un laideron, mais tu es bien bonne.  Tumblr_mlqv4ku6sS1qfv89lo1_250Deux océans ambrés rivés sur l'ombre nette de ces silhouettes inconnues, l'air perdu dans ses songes enfantins, son petit corps de poupée mordu par le froid de la pièce, Charlie s'adossa au mur glacé avec une lenteur appliquée, les genoux repliés contre son buste féminin. Pas vraiment à sa place, la môme, avec ses petits poings inefficaces et ses airs de chaton apeuré, mais c'était le propre de la vie tortueuse de l'anglaise ; le hasard la promenait où bon lui semblait. Sa longues crinière cuivrée se déployant dans son dos, ses lèvres rosies s'agitant sur le bas porcelaine de son visage, elle fronça les sourcils en accompagnant sa colère d'une délicieuse moue boudeuse. L'éternelle et assommante ritournelle des pas réguliers d'un policier sur le sol frais frappait son crâne, vieille rengaine lancinante qu'on continuait de lui infliger. Assise à même le sol, sa chair caramel luisant sous la caresse argentée  de la lune, la môme se plongea dans une trêve profonde, coupée du monde, elle s'enfermait dans sa petite bulle de tranquillité et attendait que ce séjour loufoque atteigne sa fin. Autour d'elle se dépeignait une drôle de troupe d'homme déjantés, atypiques, un peu comme elle dans le fond, ceux qui se laissent porter par la vie comme on laisse couler un fleuve, ils ne sont pas si différents. Seuls leurs sourires carnassiers et leur coquards bleuis lui rappelait dans quelle lieu malsain elle se trouvait, embarquée de force dans cette drôle de camionnette blanche brunie par les années. Une de ses petites mains vagabondes s'acharnait sur son autre poignet, vieux réflexe d'enfant qui rougissait la peau pâle de son bras sous son toucher appuyé.  Son regard s'attarda sur l'uniforme bleuté de l'agent qui déambulait, funambule sur cet étroit couloir assombri, alors que ses airs apeurés attirait le sien. « Vous pouvez pas me laisser passer juste un coup de fil ? » supplia sa petite voix fluette, ses grands rêveurs ancrés dans ceux du trentenaire. Il secoua vivement son visage joufflu avant de se retirer dans les ténèbres de l'édifice usé. Le pâle halo or d'un vieux autrefois flamboyant scintillait dans la nuit australienne au dessus de leurs têtes. Charlie sentait glisser sur elle les regards lubriques et déplacés des détenus, seule fille égarée au milieu de ces gars déparayés, tout autant paumés qu'elle l'était. L'étrange figure bariolée de coups d'un de ses compagnons surgit devant elle, dérobant à ses prunelles leur objet de contemplation - à savoir ce pauvre banc esseulé dont son bois grisâtre illustrait la vieillesse. Ce qu'elle faisait là, qu'il lui demandait avec son amusement sournois, planté et tordu devant la drôle de gamine recroquevillée dans son coin. « J'en sais trop rien, commençait son joli timbre cassé, je rentrais du boulot, je suis passée devant le bar et hop, au poste, qu'elle  conta en haussant les épaules, fatalité  quand tu nous tiens. » elle se surprit même à lui offrir un joli sourire framboise, parce que la môme c'est pas le genre rancunière, de toutes les manières possibles ils étaient dans une même galère alors elle soutenait sa cause, en se peignant d'une gaieté fraîche sur le bas de son visage. Il y a grand fossé entre l'amour et le désamour de Charlie, chacun y demeure et y trouve sa place. Alors elle jeta un regard au prédateur, avec ce même abattement résigné que traduisait un faible sourire esquissé. A peine ses mots s'essouflaient-ils dans l'air froid de la nuit que l'autre beuglait des propositions proprement indécentes à l'éternel puni qui errait dans les couloirs du bâtiment étriqué. Elle n'avait pas le temps de s'attarder sur des détails aussi insignifiants de cette visite, sa colone vertébrale douloureuse continuait de rouler contre ce grand mur glacial. Et plus elle sentait ce souffle empreint d'alcool plus l'envie de s'évader l'oppressait. Charlie fermait les yeux une délicieuse minute. « S'il vous plaît, laissez-moi sortir... J'ai pas bu une goutte d'alcool ! Je peux même souffler si vous voulez ! Je vous jure, que dalle, même pas une bière pendant ma pause ! » piaillait-elle en s'agitant désespérément sur le sol humide, mais l'écho de sa voiss enfantine se répercutait contre les parois sombres sans que le vieux joufflu ne veuille les écouter. Et merde. Elle jeta un regard assassin à ce long corridor assombri avant de laisser ce long soupir réprimé franchiirr la barrière amère de ses lèvres. Sa tête se dirigea vers la bande de gars tordus qui peuplaient l'espace réduit avec elle et, d'un dernier air implorant elle murmurait à demi-mots « Pitié, dîtes-moi que quelqu'un ici sait comment on peut sortir de ce trou. »

hrp:
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✽ Lun 30 Déc - 11:21

Surry Hills Police Station, 05h 15.
"Tu m'expliques ce qu'on fait là ?" Bonne question. T’aurais pu répondre ça mais t’étais encore dans les vapes, mon p’tit gars. Mais voyons le bon côté des choses, la suite des évènements allaient au moins finir par te réveiller pour de bon.
« Sympa ton œil, c'est la nouvelle mode chez les jeunes ? Pas très régulier par contre, ça manque de... symétrie. » Plaît-il ? A cette remarque, tu relevais un sourcil avec dédain. Tu n’eus pas le temps de répondre que Caesar s’avançait déjà à tes côtés pour lui dire dans toute la splendeur de la langue de Molière, au combien  il devait se la fermer. A cette réponse, tu ne peux que baisser la tête pour te moquer doucement. Ça au moins, c’était envoyé.  Fidèle à lui-même dira-t-on.
Finissant de reprendre tes esprits, tu remarquais plusieurs choses. De un, la présence d’un nouvel homme aux côtés du barman. Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il était à des années lumières de ta déchéance burlesque, de ta situation dévergonde, de ton entourage de débauche. Non, c’était un de ces types que tu rêves de voir glisser de son monde jusqu’au tien. Et sa dégaine de mec inaccessible t’horripilait plus que tout. Tu n’eus envers lui qu’un simple regard d’impertinence palpable. Après tout, t’auras probablement bien assez à faire avec lui plus tard.
De deux, l’identité potentielle du barman : Alexander.. Crane. Ouais, c’tait bien lui. Le frère d’une dès plus charmantes serveuse de la ville.. A cette réminiscence, tu ne peux réprimer un sourire malsain et des intentions impures. Peut-être que finalement, tu allais t’amuser dans cette cellule. En attendant, ton regard se reporte sur Caesar.. qui n’a pas attendu bien longtemps pour s’approcher de la seule femelle du groupe. Elle était mignonne.. ouais. Plus que ça, en vue de la mine qu’elle affrétait, il était clair qu’elle n’avait rien à voir avec l’incident du bar. Et pour couronner le tout, elle avait droit à la subtilité légendaire de Caesar. Quelle soirée. Tu aurais presque de la peine pour cette charmante créature. Une charmante créature dont il était dur d’ignorer tant elle fut encore plus belle au milieu des lascars que vous formiez. L'observant de ta position, tu finis par prendre place aux côtés de Caesar plutôt qu'aux siens. Tu te serais bien présenté mais le moment pour toi n'étant point opportun, tu préférais garder ton ardeur pour plus tard.
Posant tes coudes sur tes genoux, tu te couvris l'oeil endoloris et attendit. C'était pas la première fois que tu te trouvais dans une situation comme celle-ci (qui plus est avec Caesar) mais c'était toujours aussi pénible.

« Pitié, dîtes-moi que quelqu'un ici sait comment on peut sortir de ce trou. » S’ils avaient la réponse, ils se seraient déjà éclipsés depuis un moment. Une pensée éclaire et relevée d'un certain sarcasme, qui dépeignait exactement ton humeur du moment. Néanmoins, à cette question, il semblerait que tu réfléchissais à une réponse crédible, malgré tout. Semblerait seulement. «– Un moyen de sortir d’ici.. répétais-tu dans un mystère réfléchis. Tu finis par te relever, jetant un bref coup d’œil à Caesar. Une lueur malicieuse qui en disait long et que ton grand ami devait avoir saisi. Tu te relevais pour t’adosser contre le mur, le pied sur la banquette crasseuse. Tu observes alors, face à toi, Alexander tandis que ton intellectuel fonctionne.  Un pressentiment certain : celui de n’entendre rien de bon sortir de ta bouche. Finalement, un sourire emplis de fourberie dévergonde semble naître sur tes lèvres tandis que tu l’enjoins de l’autre bout de la salle. – J'aurais bien un moyen en effet. Peut-être que sa sœur pourrait nous aider. Auquel cas, je saurais lui rendre la pareille comme il se doit.. Comme si ces paroles ne suffisaient pas, tu continuais dans ta lancée, avec qui plus est, des gestes du bassin en un va et vient lent incroyablement.. démonstratif ?  – Ou plutôt devrais-je dire.. comme elle les aime ? » Ma foi, t'avais absolument aucunes réponses à fournir, si ce n'est celle de tuer le temps comme ils le pouvaient. Pas sûr que la réponse plaise à la demoiselle. Ni à Alexander, par la même occasion. Navrant, tu es.
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✽ Lun 30 Déc - 14:08


 



∞ merci la gueuse.
Si un jour on t'avait dit que tu finirais là, entre ces idiots et les murs fades de la cellule, tu aurais bien ris. Toi, âme sombre et tourmenté, n'avait rien à faire parmi ce bal ridicule à jouer à qui sera le plus risible. Des gamins qui s'amusaient de l'alcool et de ses conséquences. Toi et deux potes contre deux mâles en puissance, l'un en rut et l'autre se comportant comme le merdeux qu'il était. Timy le costard en vrac, et toi nouvellement chômeur. Tu t'en fiches, des bars il y en a partout en ville. Tu sais bien que tant que l'homme n'en aura pas fini de se plonger dans les affres de cette apaisante drogue, le business fleurira. La dépravation sans fin de l'humanité paye déjà tes factures, pourquoi te plaindre ? Tu es là parce que tu l'as mérité, supportant ces idiots parce que c'est ainsi. Même si tu veux bien avouer que l'autre chevelu commence à vraiment te gonfler. « Du respect ? Sérieusement ? Vas te recoucher mec, tu mériterais même pas d'lécher mes grolles. » Timy vient à ta rescousse, comme le pote qu'il est. C'est sur que pour ce coup là tu as eu de la chance qu'il soit présent, un contre deux aurait été plus chaud. Quand bien même, qu'est ce que tu as pu être con à jouer les rebelles, à ne pas savoir te tenir. Fallait juste fermer ta gueule, les laisser dire et tu aurais été tranquille. Mais non, ton sang-chaud n'a fait qu'un tour et tu leurs est rentré dans la gueule, digne d'un grand prince. Au pire tu t'en fou, de toute façon ton esprit est déjà appelé ailleurs. Tu le regardes le beau parleur, tu le vois aborder la nana. Nana ? Depuis quand est-elle là ? Tu n'l'avais pas vu mais tu la plains. Surtout vu la drague lourdingue que lui offre l'autre con. Tu vas pour le faire taire mais Tim est plus rapide. Vendre son cul, sérieux ? Ça te fait rire. Voilà que tu te retrouves coincé avec grincheux et sa salope, t'as le cul pour tomber sur des cas. Et voilà que Tim vient te voir pour t'engueuler à moitié. « Ne me dis pas que tu les aurais laissé abîmer mon joli visage Sloan. » Un sourire en coin, la situation te fait vraiment marrer finalement. C'est plaisant de voir les dégâts sur les autres quand on a rien prit dans la gueule. Du moins pas encore. La nana elle tu sens qu'elle flippe un peu quand même. Surtout à cause de ce pauvre type qui s'est approché d'elle, à croire qu'il à le slip en feu. Elle elle cherche juste un moyen de se sortir du pétrin dans lequel les flics l'ont foutus. Tu as mal pour elle, l'attitude de l'autre te dégoûte. Tu sais même pas comment il s'appelle, tout ce que tu sais c'est que tu veux lui en foutre une nouvelle. « Sans rire mec tu sais pas te tenir ? T'es obligé de te faire toutes les nanas qui passent ? » Que tu lui demandes, le regardant. La fille se met à parler, et tu l'écoutes. Un moyen de sortir ? Attendre sagement la fin de leur garde à vue semblait l'option rêvé d'après toi. Tu ne ferais plus d’esclandre, te tiendrait calme et sortirait au petit matin avec un peu de chance. Tu fermes déjà presque les yeux dans l'optique de te reposer un moment. Sauf que non, le calme Dieu se refuse de te l'accorder. Le grand c'est mit debout, il te regard. Il a la tête du mec qui va jouir, tu sais ce type trop content d'avoir trouvé sa dernière clope, ou de se taper le sosie de Pamela Anderson. Il se met à parler et tu détestes complètement ce qu'il te dit. Comment ça, ta sœur ? Tu rouvres un œil, et tu le vois. Il fait le con là, à jouer avec son bassin. L'info fait qu'un tour, il te connait. Quel sœur, t'en sais rien mais tout porte à croire qu'il fréquente Addison, au moins un peu. Et ça, ça ne te plait pas du tout. Tu le regardes froidement, t'es pas sur de bien comprendre. « Tu viens de dire quoi ? » Tu le vois sourire, et tu sais. Toi aussi tu souris, même si intérieurement tu es exploses. Tu te tournes vers Timy, un sourire étrange au visage. Tu parles, plus pour toi même qu'autre chose. « J'vais me le faire. » Et sans plus attendre tu te lèves, d'un bon. Et tes mains arrivent à la gorge de ce crétin que tu pousses de toutes tes forces malgré ton poignet qui te fait un mal de chien. Tu t'en fou de la douleur, tu veux juste qu'il crève. Après tout, tu es surement le seul à avoir tué dans cette salle, à main nue. Qu'il y passe tu t'en fous, personne ne touche à ta sœur. Tu l'as déjà plaqué contre le mur quand les flics réalisent, tu as juste le temps de lui décrocher un coup droit que déjà ils se mettent à gueuler. Tu le lâches, crachant sur cette ordure, déçu de ne pas être seul. Tu vas te le faire, tu as toute la nuit pour ça. Le calme n'est plus d'actualité désormais.


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✽ Lun 30 Déc - 17:18

Surry Hills Police Station, 5h 16.
« Du respect ? Sérieusement ? Vas te recoucher mec, tu mériterais même pas d'lécher mes grolles. » Tu regardes autour de toi, pas spécialement visé par une insulte de la sorte, limite t'as envie de lui prendre la main pour le soutenir dans cette épreuve difficile : l'insulte n'est pas son fort au petit. Tu croises tes bras sur la torse, tu es capable de partir au quart de tour, comme d'être le plus calme possible, tu sens le regard de Dany qui juge ton humeur du moment, quelque part, tu sais bien qu'il te pousse à le frapper, pire à lui décrocher la mâchoire et qu'il retourne dans les jupons de sa mère. Mais, tu reste incroyablement serein avec ton sourire en coin significatif de ton amusement. « Fous-lui la paix. On t'as rien demandé à toi. » Tiens son garde du corps à la rescousse, ça te faire rire de voir Timy en pleine action, lui qui d'habitude prend bien soin d'éviter la moindre bagarre; histoire de pas abîmer sa gueule d'ange, ou plutôt sa gueule de merde, un coup en plus ne devrait pas avoir trop d'impact, peut-être même que ça l'aiderait à avoir une gueule plus équilibré. « Pourtant c'est toi qui a l'habitude de donner ton cul en échange de fric ... Alors je suppose que tu n'es pas à un sacrifice prêt » Ton sang bouillonne, tes poings se serrent, tu te mords la langue, tu peux plus te contenir comme ça, t'es sous pression mec, tu vas exploser et ça va faire mal, très mal. Tu te retournes vers Timy, t'abandonne ta proie qui franchement te semble bien fade, les yeux noirs de rage, tu sais que ton geste aura des répercussions, mais qu'importe, tu ne peux pas, tu ne peux plus de le voir avec son sourire narquois, ses fringues de vieux bobo, et sa satisfaction constamment affichée dans son regard. De toute façon, à présent, tu avais un moyen de pression, certes très faible, mais utilisable, tu gardes ton arme secrète pour toi, ce n'est pas le moment de la sortir, pas maintenant. Et dans un excès de rage, tu frappes d'une violence inouïe Timy, un poing directement expédié près de sa bouche qui explose littéralement sa lèvre inférieur, il s'écroule à terre, du sang commence à couler sur le sol, peut-être que plusieurs dents avaient disparu, tu sais pas, mais tu te calmes vite fait en voyant les flics venir à la rescousse du petite merdeux. Aucune douleur dans ta main droite, mais tu te rends compte que la bague a marqué la face de ton ennemi, et finalement, elle n'a pas résisté à la violence du choc. Tu t'en tapes, elle t'a coûté que dalle. Alex, d'après les dires de ton mac, regarde la scène, si proche de lui, que tu aurais très pu faire un strike avec leur deux têtes, peut-être même les exploser contre le mur, dommage que les flics commencent à péter les plombs, tu les regardes, toujours aussi lamentable ceux-là. "Occupe-toi de ton pote avant que je m'occupe de ton cas" Tu tapotes le visage du chien de garde avec ta main droite qui garde quelques traces de sang de ton mac, tu lèches silencieusement tes doigts, riant en voyant sa minable imminence à terre comme le chien qu'il est. "Finalement, tu aurais presque bon goût." La meuf commence à pleurnicher, mon dieu, mais qu'elle ferme sa bouche, sérieusement, tu n'avais pas besoin d'une casse-couille dans les pattes. Elle mérite que tu lui fourres sa bouche avec ta bite, au moins, elle serait intéressante pour quelque chose, si fade, pauvre fille. Dany commence des menaces, t'écoute à moitié, t'as bien compris l'histoire d'une sœur qui ne semble pas plaire à Alex. Toi, ça t'éclate, ton pote est en forme, par contre le petit toutou de Timy, ça l'amuse mais carrément pas. Les flics avaient foutu le camp, tu n'avais pas eu trop de problème, étonnant, à la limite, ils avaient peur de toi, t'es violent mec, t'façon aucune preuve ne t'accuse, tu effaces la moindre trace de ton implication, et le pauvre chien avait à peine eu une poche de glace. T'as à peine le temps de réaliser que Dany est contre le mur avec l'autre fou, tiens finalement, il est peut-être plus intéressant qu'il n'y parait. Les flics reviennent à la charge, ne sachant pas vraiment quoi faire à part crier, et taper sur les barreaux pour nous calmer, on se croirait presque au zoo. Tu vas voir Dany, tu examines sa gorge, t'es en pétard, il le sait. Discrètement, tu lui demandes "je m'occupe de lui, ou tu t'en charges ?" Non, tu ne veux pas d'un combat inéquitable, après tout ce n'est pas très fair-play, tu as quand même un minimum d'éthique dans les bagarres, ce qui est formidable venant de ta part.
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✽ Sam 4 Jan - 19:58

« Ne me dis pas que tu les aurais laissé abîmer mon joli visage Sloan. » Ce qu'il peut être con. Puis faut qu'il se rappelle que mon visage est bien plus important que le sien. Mon visage est mon image de marque, ma gueule est ce que je mets en avant dans les galas de charités dans lesquels je me rends pour donner l'impression que je suis un homme bien à tous les niveaux. Alors oui, cette gueule est plus importante que la sienne et à choisir, j'aurais été me planquer dans les chiottes avant que les flics n'arrivent. Maintenant je suis dans une cellule comme ces quatre autres clodos et les flics ne prennent même pas la peine de m'écouter. Sinon ils sauraient que je suis pas le genre de mec que l'on fourre dans ce genre d'endroit bordel. Caesar y a sa place mais moi ... Vous m'avez vu ? Faut quand même pas me foutre dans le même sac que cette pute. Mon regard se porte alors sur Alex, je le toise du regard, je tue du regard. Je lui en veux. Même si il m' a rien demandé, on sait tous les deux que c'est lui qui se fout tout temps dans des galères comme ça« Si je te le dis. Prochaine fois, je les laisse bousiller ta gueule Alex. » Merde quoi. Il a les poings qui le démanchent ? Va falloir qu'il m'explique ce qu'est cette nouvelle lubie de toujours vouloir jouer au bagarreur alors qu'il n'est pas beaucoup plus costaux qu'un caniche. Je lance une pique à caesar. Je sais que ça va le faire bouillonner, je sais qu'il va avoir envie de me péter la gueule mais c'est plus fort que moi. Puis c'est la vérité après tout. Pas ma faute si il est payé pour donner son cul. Il croit peut-être que ça fait de lui un bon coup mais moi, je persiste à croire que ça fait juste de lui un déchet de la société. Je m'apprêtais à retourner dans mon coin de la cellule lorsque le poing de l'autre con a percuté ma joue de plein fouet. Il a frappé fort, j'ai mal. Je rage. J'suis par terre, propulsé au sol par la force de son poing et j'pisse le sang. J'ai juste envie de le démonter mais faut être lucide, je fais pas le poids. Je me redresse finalement. J'suis sûr qu'il m'a défiguré. "Occupe-toi de ton pote avant que je m'occupe de ton cas" Qu'il lance à Alex tandis que je sors un mouchoir de ma poche pour m'essuyer un peu. J'essaie de virer le plus gros et presse un mouchoir sur mon nez tandis que Caesar se lèche le bout des doigts. Le bâtard.  "Finalement, tu aurais presque bon goût." Mon sang ne fait qu'un tour, il me pompe l'air lui. C'est à ce moment là, profitant du fait qu'il ne s'y attende pas, que je lui balance mon poing dans les abdos. Profitant de la proximité des barreaux, je colle celui-ci contre ces dernier et presse mon avant-bras contre sa gorge. « T'es qu'une pute caesar, va falloir t'y faire. » que je lui crache à la gueule tandis que j'en profite pour lui mettre un coup de genoux dans les couilles. Voilà qui est mérité. J'suis peut-être pas le plus fort, mais je me débrouille et il souffre. C'est jouissif de le voir souffrir comme ça. Je m'écarte finalement de lui, le laissant tomber à genoux. Ouais, c'est un endroit qui fait mal.
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