Jack P. HarrissonANGRY PEOPLE ARE NOT WISE
∞ messages : 98 ∞ arrivé(e) le : 07/05/2014 ∞ Grain de sable : 84
| ✽ Lun 19 Mai - 9:52 | | Ce matin je me suis réveiller avec l'envie d'un bon et vrai café chaud avec un croissant. C'était la première fois depuis mon retour que j'avais envie de nourriture. c'est donc, à peine levé et pris ma douche que je sort de l'appartement pour me rendre dans un café du centre ville que j'avais repéré la veille et qui m'avait l'air plutôt sympa. Il y avait une petite file d'attente pour prendre son café. Quand soudain, un homme vient me bousculer sans le vouloir. J'ai eu un flash, les images des rebelles qui me frappais me sont revenues en tête comme si c'était réel. Je serre les poings et lorsque je reviens à la réalité 3 secondes plus tard je met mon poing dans la figure de ce mec. Il ne comprend pas et me traitre de cinglé alors qu'il était à terre, je lui donne un coup de pieds, il se relève et me donne une bonne droite également. Les clients son choqués, certain cries, d'autres s'en vont. Un serveur s'interpose entre nous et nous séparent. le mec me crie dessus : - Il faut le faire enfermer celui là, il est complètement taré !! le mot "enfermer" me fit frissonner de peur, l'enfermement je connais, je l'ai était pendant 3 ans, la seule chose que je trouve à dire c'est : - NOOON !!! j'avais vraiment l'air d'un fou en effet, mais ce que j'avais vécue m'avais définitivement changer, j'avais un tel colère en moi que parfois je n'arrivais pas à ma retenir de hurler ou de frapper. Cet homme se voit offrir son café il part. Les yeux dans le vague, je m’assoie, pendant plus de 10 minutes je regarde dans le vide en silence. J'avais bien vu que j'avais effrayer une serveuse, elle hésiter a venir prendre ma commande. Je décide donc me lever et d'aller la voir. - Je suis désolé, si je vous ai effrayé. Je m'excuse. Je..... je me suis emporté pour rien. Mais cet homme... m’a rappelé trop de mauvais souvenir, vous m'avez surement vu dans les médias il y à une semaine et encore aujourd'hui d'ailleurs. Je lui montre d'un signe de tête le journal local qu'il vendait au comptoirs et dont je faisait encore la une des journaux.
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