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atlas | back from silence and isolation↪ | A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 9 Avr - 13:11 | | | CARACTERE : Il est attentionnée et compatissant, surtout envers les membres de sa famille et ses proches amis. Loyal, il n'arrive guère à trahir ceux qui lui sont précieux ni même les promesses qu'il fait, et qui pourrait être la source de malheur ou de tristesse pour certains. Passionné, il ne fait jamais rien à moitié. Lorsqu'il s'engage, il va jusqu'au bout des choses... Du moins, pour la très grande majorité des choses. Intelligent et travailleur, autrefois, Atlas s'acharnait pour sa famille, travaillant plusieurs heures par semaine afin de venir en aide à sa mère, autant auprès de ses jeunes sœurs que sur le plan financier, facilitant beaucoup de chose pour la seule adulte réellement présente pour eux. Débrouillard, il n'eut aucun problème durant les quatre années d'absence, il vécu de petits travaux ici et là, s'acharnant. Vif, de corps et d'esprit, rare sont ceux qui arrive à duper cet homme. Certes, il ne voit pas tout, il ne comprends pas tout, mais perçoit souvent la vérité. Impulsif, colérique et insatiable, il faut prendre garde à ne pas le provoquer ni faire de mal à l'un des membres de sa famille. Que cela soit l'aînée de ses petites sœurs, ou l'une des deux cadettes, il sera présent, chargera sans réellement prendre le temps de réfléchir, convaincu qu'il sortira vainceur. Calculateur et énigmatique, s'il décide de rester silencieux, de garder un secret, personne n'arrivera à comprendre. Également perfectionniste, autant du côté positif que négatif de la chose. feat tyler hoechlin. |
∞ Si tu devais choisir un menu McDo ce serait lequel ? Étant un homme possédant un appétit assez grand, il n'y a qu'un ensemble BigMac qui arrive à combler sa faim, voir parfois plus encore. Bien qu'il aime varié ses repas et ses commandes, lorsqu'il se présente aux comptoirs d'un fastfood comme celui-ci, ses demandes finissent souvent par être fortement similaire. ∞ Si tu devais te décrire en une série télé, ce serait laquelle ? The Walking dead... Il perd les êtres qui lui sont chers, il se doit de veiller sur ses proches continuellement, un lourd poids pèse sur ses épaules, au point qu'il sombra sous la fatigue, l'exaspération jusqu'à son départ. ∞ Si tu devais illustrer ta vie sentimentale avec un personnage de série, lequel serait-il ? Hook. Tout le monde le prends pour le mauvais, il se joue de son charme, refoule ses réelles émotions que se soit la tristesse ou l'affection éprouvé envers quelqu'un. ∞ Quel est le moment qui a le plus marqué ta vie ? Le jour où sa mère lui apprit que son père était mort, qu'il allait devenir le seul et unique homme de la maison, qu'il allait avoir un lourd poids sur les épaules, sans personne pour lui venir en aide. Il allait devoir prendre soin, à la fois de sa mère et ses sœurs cadettes, sans broncher. ∞ Si tu étais un Dieu ou une Déesse grec, qui serais-tu ? Zeus, puissant et massif, il use de sa force pour protéger son entourage ou simplement exprimer sa rage et sa colère. Il est reconnu aux yeux de tous, mais également craint... ∞ Si tu étais un alcool, lequel serais-tu ? Whisky. Fort, parfois amer mais impossible de refuser ne serait-ce qu'un léger verre accompagné de glace...
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| A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 9 Avr - 13:11 | | Maintes âmes sur cette terre pourront témoigner de la tristesse éphémère de la vie, les regrets qui naissent au fil du temps, de la rancœur qui grandit envers les événements malheureux qui peuvent caractériser une existence parmi tant d'autres. Jamais, ô grand jamais, un être aurait pu accepter une charge aussi lourde, fournissant engagement et effort sans broncher, sans reculer devant les obstacles. Atlas pouvait bien se vanter d'une seule et unique chose qui eu lieu à cette époque, son courage. Le courage d'accepter le rôle qui s'imposa à lui, le courage de rester fort et porter la lourde charge d'une famille sur ses épaules, le courage de ne pas fuir devant la menace et l'adversité. Mais également le courage d'arrêter, le courage de reprendre sa propre vie en main, de profiter ne serait-ce qu'un minimum de son existence, ne tenant compte que de lui et de ses désirs enfouis au fond de son âme. Il n'aurait jamais cru que cela pourrait provoquer autant de peine et de tristesse au sein des membres restant de sa famille, mais il accepta cette dur réalité rapidement, surtout lorsqu'il se retrouva loin, très loin, isolé, affrontant chaque jour comme il l'entendait et comme il le désirait. Lorsqu'il vit le jour, At' était l'enfant unique de la famille, adoré, attendu, chéri comme jamais. Il vivait une enfance que, tous les jours, il caractérisait de rêve. Aucun réel malheur ne s'abattait sur eux, outre peut-être de léger quiproquo ici et là, des voix fortes et des reproches. Ce n'était rien d'alarmant, rien d'anormale, selon son avis de jeune garçon ne connaissant rien sur la vie et sur les secrets qu'elle dissimule. Toutefois, dès lors que ce petit bout de garçon était en mesure de déambuler dans les couloirs de la maison, alternant entre cuisine, salon puis le retour à la cuisine, prenant plaisir à faire de petits coups rigolos à ses parents, il entendit une nouvelle. Une nouvelle qui, à l'âge de deux ans, il ne pouvait que comprendre légèrement. Les mots grossesses, famille plus grande, bébé... Ce ne représentait que peu pour lui. Cependant, lorsqu'ils furent mention d'une petite sœur, là, il comprit. Savoir qu'il ne serait plus enfant unique fit naître une grande joie au sein de son petit cœur solitaire. Il gambadait, arpentait les couloirs heureux, sourire aux lèvres, attendant avec impatience que ce jour arrive. Ce jour où sa petite sœur allait naître. Ce jour où il pourra prendre soin d'elle, la bercer dans le creux de ses petits bras d'enfant, et vieillir en sa compagnie, veiller sur elle continuellement, la défendre, la protéger. Dès qu'il aperçu ce petit minois angélique pour la première fois, Atlas a été conquis. Son petit cœur a fondu... Il ne pouvait faire autrement que l'adorer, faire d'elle une petite sœur protégée et chérie comme jamais aucune autre petite sœur n'aurait pu l'être. Du moins, ce fût le cas jusqu'à ce que la prochaine petite sœur suivre de près Mimi. En effet, plus les années passaient, plus la famille Holmes accueillait de nouveau petit bout de chou, toujours aussi adorable et charmant que la précédente. Rapidement, l'aîné prit son rôle de frère au sérieux, prêt à protéger ses sœurs cadettes, à être là chaque fois qu'elles auront besoin de lui, de son esprit critique ou de sa force brute. Peu importe. Pour lui, refuser de venir en aide à ses petites protégées s'avérait littéralement impossible. Il ferait tout pour elles, pour les trois. Car, rapidement, après Nevada, vint une troisième petite sœur. Duncan était le seul et unique enfant mâle de la famille, représentant son sexe puissant et protecteur auprès de ses cadettes aux meilleurs de ses capacités. Bien entendu, en dépit de la fraternité grandissante entre chaque membre de cette belle famille, quelques quiproquo voyait le jour. Après tout, une maison rempli de jeunes filles, personne ne pouvait contrer cela. Toutefois, At' acceptait cela avec le sourire, appréciant de voir ses sœurs ainsi. Plusieurs auraient une toute autre vision de la situation, mais les apercevoir ainsi, se chamailler, se tirer les cheveux pour une petite poupée anodine... Ce n'était que des preuves d'affections familiale, oui elles étaient quelque peu violente, mais personne n'a jamais parlé de paix et d'amour éternel sans une minime once de violence. -n'allez pas répéter cela...-
Les jours, les semaines, les mois voir même les années s'écoulaient, tandis que la famille Holmes ne faisait que devenir de plus en plus forte, solide. Elle n'était guère une preuve ou un modèle de famille uni que les autres devaient suivre, bien au contraire. Les sœurs criaient souvent, arpentant rapidement les couloirs de la maison pour un morceau de vêtement pris par l'autre, un accessoire disparu étrangement, ou de simples et anodines histoires de famille. L'aîné se retrouvait souvent installé confortablement devant l'écran de télévision, dans le salon, un large sourire aux lèvres tandis qu'il entendait les deux plus jeunes hurlées à l'étage. Souvent, il désirait intervenir, les séparer et trouver une solution aux problèmes. Toutefois, quelque peu profiteur, trouvant ces petites guerres entre jeunes filles bien amusantes, il repoussait chaque fois le moment où il laisserait un soupire franchir ses lèvres, que le prénom de l'une de ses sœurs cadettes retentissent de sa voix grave, et qu'il commence à prendre la direction de l'étage, où les derniers bruits furent entendus. Car, chaque fois qu'il laissait sa voix forte résonner dans la maison, les plus jeunes arrêtaient aussitôt, attendant silencieusement son arrivé, soit en se dissimulant sous le lit soit en pointant l'autre du doigt pour que se soit elle qui soit accusée, pour que se soit elle qui doive assumer les conséquences... Malheureusement, le jeune homme ne croyait jamais aucune d'entre elles, étant donné qu'elles ne cherchaient qu'à fuir les conséquences que la mère ou le père allait infliger sous peu, à la limite, le frère aîné. Après tout, étant âgé de sept longues années, il pouvait veiller sur ses sœurs assez longtemps. Oui, cela devait de courtes durées, mais d'une grande voir énorme aide pour ses parents. C'est tout ce qui comptait à ses yeux... Jusqu'à ce jour. Ce jour où sa mère vint vers lui, le visage recouvert de larmes, un mouchoir à la main, le souffle court. Sans un mot, elle vint s'installer auprès de lui et le serra dans ces bras. Il ignorait ce que ce silence et cette étreinte signifiait, mais il craignait le pire. Étant le premier arrivé à la maison, comme toujours, attendant ses petites sœurs à la maison. La petite dernière, quant à elle, n'avait guère l'âge de comprendre ni même d'entendre ces mots... Duncan non plus. Il aurait souhaité que ces paroles n'atteignent jamais son cerveau, que sa mère ne fasse que jouer affreusement bien la comédie, que son père franchisse le seuil de la porte d'entrée à l'instant même. Mais, rien à faire. Ce n'était guère un cauchemar réel au point de chercher à comprendre s'il dormait ou non... Ce n'était que la triste et douloureuse réalité. Son père, policier dans la ville de Sydney, avait perdu la vie en exerçant son métier aujourd'hui même. Alors qu'il devait rester paisiblement à la station, remplissant de la paperasse comme il détestait tant le faire, un appel d'urgence résonna, le forçant à agir dans les plus brefs délai. Le résultat, ce fût un accident... Un meurtre. Son père avait été tué tandis qu'il tentait de protéger la population, tandis qu'il ne désirait que rentrer chez lui le soir et serrer fort chaque membre de sa famille avant de filer à sa chambre, retirer son uniforme et ranger soigneusement les outils de son travail avant de venir prendre place auprès de l'aîné pour écouter les sports, discuter, commenter. Aussitôt que son cerveau comprit le sens de ces mots, réalisant que, à l'instant même, il devenait le seul et unique homme au sein de cette maison. Atlas n'avait que sept ans, et sa famille allait reposer sur ses frêles épaules... En dépit de l'accumulation d'eau salée devant son regard qui s'embrouilla aussitôt, que son cœur se serra dans sa poitrine et que l'air vint à lui manquer terriblement, il resta fort. Retenant ses larmes, gardant autant bien que mal son sang froid, il referma ses bras autour de sa mère, tentant de la réconforter, de calme ces pleurs ne serait-ce que pour éviter d'inquiéter les filles aussitôt qu'elles franchiraient la porte. Mais, rien à faire... Elle était hors de contrôle, impossible de dissimuler les larmes et la tristesse qui emplissait son âme toute entière. Par instinct, ne désirer que protéger ses sœurs cadettes, comme toujours, il accompagna sa génitrice à l'étage, l'allongeant sur son lit. Il déposa les draps sur son corps tremblant, apportant des mouchoirs ainsi qu'un grand verre d'eau. At' tenta en vint de la calmer encore et encore... Cependant, dès lors qu'il entendit la porte de la maison s'ouvrir, et la voix de ses sœurs annoncer leur présence, il demanda à sa mère de rester allonger, qu'il prendrait le situation en main, veillant à ce que tout le monde puisse survivre à cet événement horrible. Refermant la porte de la chambre de ses parents... Désormais uniquement de sa mère, il resta immobile un court instant, reprenant son souffle, sentant que ses jambes commencèrent à trembler sous son poids. Il ne désirait qu'une seule chose, s'effondrer au sol, recroqueviller sur lui-même en boule, et laisser toutes les larmes de son corps couler, marquant son visage de lisière salées. Mais impossible. Miella et Nevada était en bas, cherchant une présence, cherchant à comprendre le lourd silence qui régnait dans la maison, contrairement à son habitude. Puis, vint les pleurs de la petite dernière... Il devait tout prendre en main, empêcher sa mère de franchir le seuil de son antre et d'effrayer ses sœurs par son visage ravagé et ces paroles terrifiantes. Descendant alors les marches, apercevant l'adorable petit minois de Miella, souriant de toutes ces dents, elle vint rejoindre son frère aîné, curieuse de son silence, mais heureuse de le voir. L'attrapant par les épaules, il la mena jusqu'au salon, où Nevada était déjà en place, confortablement enfoncée dans le fauteuil, habituellement occupé par leur père. Elle faisait toujours cela, jusqu'à ce que le principal concerné arrive, avant de lui sauter dans les bras toute heureuse. Encore, comme tous les autres jours, elle souriait, attendrissant le cœur meurtri de l'aîné devenu homme responsable de la famille. Lentement, il prit place entre ses deux sœurs, les serrant fort contre lui, expliquant calmement et dans les détails les plus facile à comprendre pour des jeunes filles la situation. Comme quoi, leur père était parti travailler le matin, comme tous les jours avant, exerçant son métier avec vigueur, motivation et acharnement. Puis, vint les larmes sur les visages de deux jeunes filles, de l'incompréhension, Mime qui refusait de l'accepter, Nevada qui serra encore plus fort Atlas. Les trois enfants se retrouvait seul, dans le salon, se serrant afin d'oublier la peine et la douleur que formait la mort de leur père. Sans pouvoir faire autrement, ses sœurs voulurent rejoindre leur mère à l'étage, la serrer dans leurs bras, voir pleurer avec elle ne serait-ce que pour partager leur peine. Rapidement, l'aîné devint le seul et l'unique à ne pas verser la moindre larme, restant solide, refoulant sa tristesse et sa douleur. Le pouvoir, il hurlerait la totalité de l'air qui était présente dans ses poumons, aussi fort que possible, exprimant à la fois sa tristesse, sa colère, sa rage... Il y avait un tumulte d'émotion en lui, l'empêchant de rester paisible, mais affichant un visage de marbre, tentant de réconforter les femmes de sa vie. Tous les jours qui suivirent, Atlas restait fort, ne laissant aucune larmes ruisseler le long de son visage d'enfant, assumant rapidement ses nouvelles responsabilités. Même à l'enterrement de son père, auprès des collègues de ce dernier, il resta fort, remercia chacun d'eux de leur présence, de leurs sympathies... La douleur était énorme, le trou dans son cœur grandissait, mais tout restait invisible, pour le bien de sa famille. À sept ans, il devint un homme. À sept ans, il assuma des responsabilités qu'un enfant ne devrait aucunement connaître ni même devoir accomplir dans une seule journée. À sept ans, il devint le pilier de la famille Holmes, affrontant chaque jour avec un sourire faux à ses lèvres... À sept ans, il changea, mais refusa de s'ouvrir, même auprès de son ami d'enfance, toujours présent pour lui. Il l'épaulait dans son silence...
La mort de son père se ressentait tous les jours. Il n'y avait plus que lui, l'aîné et l'unique homme de la maison pour veiller sur les quatre femmes de sa vie, pour veiller à ce qu'elles soient tout aussi heureuse et comblée que possible. Pour venir en aide à sa mère sur le plan financier, il se trouva un travail, et ce malgré ses études qu'il tentait de poursuivre. Ce qui, rapidement, devenait encore plus difficile. Sa mère manquait de temps, de motivation pour veiller sur ses cadettes... Atlas devait alors trouver la force pour s'occuper de chacune d'entre elles, de veiller sur elles tout en cherchant à profiter un minimum de sa vie. Par chance, Miella, la plus vieille de ses sœurs, pouvait également veiller sur les deux autres. Par chance, il avait quelqu'un pour lui venir en aide et veiller sur la famille en son absence. Bien entendu, elle ne ressentait guère le poids qui pesait sur les épaules d'Atlas, les lourdes tâches et responsabilités dont il devait prendre charge en l'absence de sa mère, et ce, depuis bien trop d'années déjà. Jamais, ô grand jamais il ne l'avouera, mais il ressentait de la fatigue... La fatigue de devoir faire passer sa famille avant lui, de devoir veiller sur sa famille au-lieu de profiter de son existence. Depuis qu'il avait sept ans, depuis que son père avait perdu la vie en exerçant son métier, il n'avait guère profiter de sa vie. Bien entendu, il sortait le soir, après les cours, mais devait veiller avant tout à ce que ses sœurs rentrent à la maison, qu'elles aillent eu une bonne journée et que le repas soit plus ou moins prêt. Ensuite, il pouvait se détendre ne serait-ce qu'un court instant avant que l'une des deux plus jeunes ne viennent demander son aide pour différentes choses, ou simplement pour discuter de tout ou de rien. Auprès de ses sœurs, il était un peu comme un père... Après tout, là était son objectif. Veiller au bien-être de sa famille, veiller à ce qu'elles soient heureuse et combler en dépit de l'absence paternel. Le soir, lorsqu'elles dormaient, un tendre sourire venait étirer ses lèvres, heureux d'avoir réussi, une nouvelle fois, à rendre sa famille potentiellement heureuse. Ce n'était qu'à ce moment précis que son cœur s'attendrissait, que son âme se détendait, que son esprit pouvait arrêter de penser à un million de chose à la fois... Lentement, il prenait la direction de sa chambre, laissant constamment la porte ouverte, et vaguait à ses occupations. Remplir quelques paperasses pour ses études lorsqu'il en avait l'occasion, parfois jouer sur sa console ou simplement s'allonger et laisser les muscles de son corps se détendre en totalité avant de sombrer doucement dans un profond sommeil, et ce, jusqu'au lendemain. Jusqu'à ce que tout recommence encore, et encore... Ses journées devenaient coutume, habitude. Rare était les détails qui variaient d'une journée à l'autre, étant donné son mode de vie peu recommandable... Plus les jours passaient, plus la fatigue et l'exaspération grandissait en lui, incapable de repousser cet envie de changer de vie, ne serait-ce que temporairement, de tout laisser derrière, confiant la famille à sa plus vieille sœur afin de profiter un minimum de son existence abandonnée depuis tant d'année... Un soir, tandis que le seul homme présent au sein de cette famille arpentait silencieusement les couloirs de la maison, alternant entre les chambres de ses sœurs, veillant à ce que chacune soit là, peu importe l'occupation. Ce qui, heureusement, était le cas... Nevada allongée sur son lit, la musique sur les oreilles, dansant presque malgré sa position peu propice. Miella, assise au fond de son lit, concentrée sur sa lecture, la cadette jouant innocemment dans sa chambre, et la mère, absente, comme toujours, travaillant tard le soir, laissant At' veiller sur la famille entière en son absence. Ce soir-là, alors qu'il marchait lentement, reprenant la direction de l'étage inférieur, désireux de se détendre devant un film ou simplement une série choisi aléatoirement, uniquement pour le distraire, pour occuper son esprit sur autre chose que ses sœurs cadettes. Ce qui, malheureusement, s'avérait être bien plus complexe qu'il ne l'aurait cru... Confortablement installé dans le fauteuil autrefois attribué et réservé à son père, il changeait les chaînes, les unes après les autres, cherchant quelque chose d'intéressant. Tombant alors sur un film qu'il connaissait quelque peu, il s'arrêta pour l'écouter d'une oreille distraite, portant attention aux bruits à l'étage. Bien qu'il n'était que le frère aîné, souvent, il se sentait comme un père pour elles, un père poule très protecteur envers ses petites princesses... Déposant son visage dans le creux de sa main, observant les images qui défilaient à l'écran, il sentit son portable vibrer sous lui. Par réflexe, Atlas se pencha dans la direction opposé, glissa sa main dans poche et sorti son portable et fixa l'écran. Les mots qu'il lu firent arrêter son cœur, coupant abruptement l'air qui entrait dans ses poumons. Charlélie, son meilleur ami de toujours, venait de lui envoyer un simple texto anodin mais étrange, s'excusant de son départ... Sans chercher à comprendre, il composa son numéro et tenta de le rejoindre, mais n'obtint jamais de réponse. Essayant à nouveau, il restait sans réponse... Il en fût de même pour toutes les autres tentatives qui suivirent tout au long de la soirée, voir même de la nuit. Cette nuit, le jeune homme dormit horriblement mal, incapable de fermer l’œil sans que le visage de son meilleur ami n'apparaisse... Pourquoi partir ainsi, sans un mot, sans une explication, sans lui laisser l'occasion de passer une dernière soirée en sa compagnie et lui souhaiter un bon voyage, peu importe sa destination ou ces obligations. Duncan aurait voulu savoir, il aurait voulu bien plus qu'un simple texto annonçant son départ... Le lendemain, dès son réveil, il scruta attentivement son portable, comptant le nombre d'appel sans réponse qu'il avait effectué la veille. Beaucoup trop. Cependant, il recommença, incapable d'imaginer ce dernier partir ainsi, croyant que cela ne pouvait être qu'une mauvaise blague en sa provenance... Mais, toujours aucune réponse. Il était parti, pour de vrai. Plusieurs semaines passèrent sans qu'il n'arrive à comprendre la décision hâtive de son meilleur ami... Il aurait souhaité comprendre, il aurait souhaité n'obtenir qu'une seule réponse en provenance de ce dernier, ne serait-ce que pour une courte et brève explication. Cependant, il restait sans rien. C'était un silence total, lourd et horrifiant. Charlélie était son ancre... Il était celui auprès de qui il se sentait en confiance, celui qui le supportait bien qu'il ne se confiait guère auprès de personne... Il était le meilleur pour le distraire, pour occuper son esprit loin de sa famille... Son absence créait un vide encore plus immense à l'intérieur de son âme... Toutefois, comme lors de la mort de son père, il ne laissa rien paraître. Son âme s'écroulait à nouveau, s'effondrait en morceau, mais il resta fort, ne laissant rien paraître en dépit des questions en provenance de sa mère. En l'absence de son meilleur ami, sa fatigue, son exaspération grandissait encore plus, créant en lui une motivation de plus en plus présente de quitter le nid familiale, et de partir à l'aventure, profiter de son existence un peu... Repensant à son dit meilleur ami, il se dit que, au fond, il pourrait faire comme lui. Partir sans un mot, sans explication, laissant tout derrière afin de profiter. Un soir, tandis qu'il savait que ses sœurs étaient grandement occupé, que Mimi était là pour veiller sur elle mais que sa mère était absente, encore une fois, il prit la direction de sa chambre, fermant doucement la porte derrière lui. S'isolant au sein de son antre masculine, il attrapa une valise dissimulée depuis quelques jours dans un coin de sa chambre, et la déposa sur son lit, tentant de faire le moins de bruit possible, ne désirant en aucun cas attirer l'attention des demoiselles présentes au sein de la maison. Lentement, il commença à attraper plusieurs de ses vêtements, les entassant à l'intérieur de la valise. Cependant, aussitôt qu'il posa son regard sur l'un des cadres présent, représentant sa famille tout entière, un léger pincement au cœur se fit ressentir. Prenant alors une pause, il s'installa derrière son bureau, écrivant un petit mot pour sa mère, ne serait-ce que pour qu'elle comprenne que, à la suite de ce départ, il ne reviendra plus, plus jamais... Repliant la feuille afin de la faufiler dans une enveloppe qui attendait tout près de lui, il la déposa à côté de sa valise avant de poursuivre cette dernière, restant discret et silencieux. Malheureusement, alors qu'il était avancé, approchant de la fin, il entendit des pas derrière la porte, pour quelqu'un entra. Bien qu'il aurait souhaité que ce moment précis n'arrive qu'une fois qu'il aura franchit le seuil de la porte, sa valise à la main, il ne put refuser la présence de sa sœur Miella... Cette dernière rageait contre l'idée de partir, laissant tout derrière lui. Ces émotions étaient visible dans son regard, sur son visage. Elle détestait son frère aîné pour la valise qu'il faisait, pour la lettre qu'il tendit demandant que cette dernière la remettre à leur mère à son retour... At pouvait percevoir la haine et la tristesse qu'elle ressentait. Il aurait voulu la serrer dans ses bras, lui expliquer que ce n'était aucunement contre elle, car il l'adorait plus que tout, appréciant sa compagnie et leurs discussions qui pouvait être longue et captivante... Il était simplement au bout du rouleau, incapable d'accumuler une journée de plus avec ce mode de vie. Il était fatigué, épuisé de faire passer tout le monde avant lui et ses propres besoins. À partir du lendemain, il allait vivre uniquement pour lui, ne fournissant plus la moindre nouvelle à sa famille. Il désirait s'éloigner, ne serait-ce qu'un minimum afin de respirer, se ressourcer et recommencer une nouvelle vie. En dépit des supplications en provenance de Mimi, il ferma sa valise, l'attrapa et franchit le seuil de son antre sans un regard en sa direction, descendant l'escalier, le cœur lourd de devoir partir devant le regard humide et suppliant de sa cadette. Il aurait souhaité partir sans que personne ne puisse le voir ou le suivre. Cependant, sa sœur avait choisi ce moment pour débarquer dans sa chambre... La main sur la poignée de porte, il posa sur sa plus proche sœur un dernier regard, la suppliant de le laisser partir sans un mot supplémentaire... Il ne demanda rien, ne dit rien et franchit la porte, embarquant dans sa voiture après avoir déposé sa valise à l'arrière, partant, laissant tout derrière lui, sans le moindre regard ou réel regret. Enfin, il allait pouvoir vivre pour lui, et uniquement pour lui.
Durant les quatre années que dura son voyage en solitaire, Atlas parcouru beaucoup de distance, arrêtant parfois à certains endroits plus longtemps, cherchant un emploi temporaire afin de ne pas être en manque d'argent, ne serait-ce que pour une certaine période, avant de reprendre la route. Il vivait tel un nomade, constamment sur la route, arrêtant lorsque la nuit tombait afin de se reposer, de récupérer, de se détendre ne serait-ce qu'un minimum. Dormant de longues heures durant, paisiblement, dans le silence ou avec un film en arrière fond, jusqu'à ce que le réveil sonne, annonçant qu'il était l'heure. L'heure de reprendre la route et progresser en direction de l'Angleterre. Désireux de visiter ce coin de pays, origine de son père... Lorsqu'il avait franchit le seuil de la maison familiale, laissant tous les membres de sa famille derrière lui avec une seule lettre comme adieu, il ne savait aucunement la direction qu'il allait prendre ni ce qu'il deviendra. Il ne voulait uniquement partir, faire sa vie et profiter de chaque jour qui s'offrait à lui comme si celui-ci était le dernier. Souvent, son portable sonnait, affichant le visage de sœur Miella, elle tentait régulièrement de le contacter, Nevada aussi... Mais il refusait de répondre. Il était parti, ce n'était guère sans raison. Cependant, chaque fois qu'un message vocal l'attendait, il l'écoutait, le cœur serrer, ressentant la tristesse dans les faibles tremblements de la voix de l'une de ses sœurs. Sa mère, quant à elle, n'osait jamais composer son numéro, donnant l'impression d'avoir accepter son absence et le fait qu'il désirait profiter de sa vie, rattraper les années perdues à prendre soin de sa famille, plutôt que de lui-même, bien qu'il en mourrait d'envie. Aujourd'hui, cette époque était révolu. Aujourd'hui, il pouvait prendre le temps de profiter de son existence, sans la moindre limite ni retenu, ce qui le rendait heureux. Plus aucune attache, juste lui et sa voiture, sur les routes de l'Europe après avoir quitté l'Australie. Lorsqu'il atteint enfin l'Angleterre, cela faisait déjà un long moment qu'il était seul, qu'il voyageait... Cela approchait des trois ans et plus. Bien entendu, le silence radio envers sa famille était toujours d'actualité, ne cherchant guère à savoir si tout allait bien pour ses sœurs cadettes, en dépit de l'inquiétude qui était présente en lui. Ses trois sœurs étaient ses petits trésors depuis toujours... De ce fait, être aussi longtemps sans entendre leur voix, sans voir un sourire étirer leurs lèvres, c'était douloureux. Mais tel était le prix pour profiter de sa vie, la solitude, le vide sentimentale... Peut-être, un jour, reviendrait-il à la maison. Il l'ignorait. Quatre ans. Quatre ans de solitude, d'absence de nouvelles réelles en provenance de sa famille. Jusqu'à ce jour. Son portable sonna une nouvelle fois, Miella appela. Comme toutes les fois précédentes, il refusa de répondre à son appel, mais écouta le message qu'elle laissa. Ce dernier vint couper l'air de ses poumons ainsi que les battements de son cœur. Sa mère était gravement malade d'un cancer... Sa famille, ses sœurs avaient besoin de lui, comme jamais... Et lui, il était à des kilomètres et des kilomètres d'elles. À ce moment précis, une immense culpabilité prit possession de son être, serrant son cœur, l'empêchant de respirer correctement. L'air lui manquait tandis qu'il remplissait à nouveau sa valise, prêt à prendre le premier vol disponible pour Sydney afin de retrouver ses sœurs et veiller au chevet de sa mère, ne serait-ce qu'un minimum avant qu'elle ne quitte ce monde, laissant derrière elle quatre enfants orphelins. À nouveau, il laissa tout derrière, ne tenant aucunement comptes des minces attaches qu'il avait créer à la suite des mois installés au même endroit, et il parti en direction de l'aéroport. Ce fût à la suite de longues heures de vol et de route que Atlas revint à sa terre natale, reconnaissant le moindre détail qui s'offrait à lui. En quatre ans, rien n'avait changé, outre lui et ses habitudes. Il n'avait plus de retenu, il n'avait plus de limite... Désormais, il connaissait l'aspect libre que pouvait lui offrir sa vie, alors, revenir auprès de sa famille n'était guère un problème. Dans tous les cas, il se sentait obligé de revenir, de prendre soin de ses petites princesses devenues grandes maintenant, revenir prendre sa place de grand frère protecteur limite père poule. Un pincement au cœur se faisait ressentir à la simple vision de ses sœurs, allongée dans leurs lits respectifs, triste, attendant que quelqu'un puisse prendre soin d'elle, que quelqu'un puisse prendre soin d'elle comme autrefois. S'installant à l'arrière de son volant, après avoir embarquer sa valise à l'arrière, il roula, d'abord en direction de la maison, mais bifurqua en direction de l'hôpital. Sa mère était là-bas, dans une chambre, approchant dangereusement de la mort... Il ne pouvait faire autrement que d'aller veiller à son chevet ne serait-ce que dès son retour. Franchissant le seuil de l'entrée du grand établissement, l'infirmière lui sourit, reconnaissant son visage et lui indiqua presque aussitôt les directions à prendre pour atteindre la chambre de sa mère. Cependant, ce que cette dernière ne lui avait guère mentionnée, était la présence de Miella à son chevet... Le jeune homme rencontra sa sœur cadette avant de pouvoir apercevoir le corps inerte de sa mère. Son cœur fit un bond, voyant le regard dur que cette dernière posa sur lui, à la fois en colère et soulagée qu'il est fait le trajet de retour. À l'instant où son regard se posa sur sa pauvre mère, pâle, souffrante, un énorme pincement au cœur se fit ressentir. À ce moment précis, Duncan regretta d'être parti aussi longtemps, d'avoir laissé ses sœurs cadettes au prise avec sa mère malade, souffrante, incapable de subvenir aux besoins de la famille entière, forçant Miella à prendre beaucoup de chose en charge, comme lui autrefois. À cette vision, il regretta de ne pas avoir donné des nouvelles, mais surtout, de ne pas en avoir demandé. Car, si cette nouvelle concernant le cancer aurait atteint ses oreilles plus tôt, il aurait fort probablement fait le chemin inverse bien plus rapidement, revenant ainsi en aide à ses sœurs cadettes. Malheureusement, outre des excuses sincères, il ne pouvait rien faire de plus... Revenant chez lui, un léger sourire aux lèvres à l'idée de pouvoir revoir ses sœurs cadettes, il entra dans le vestibule, clamant sa présence, espérant une réaction plus positive que Mimi à l'hôpital. Ce qui, fort heureusement, fût le cas. Nevada, celle qui était un peu plus jeune que Mimi, vint lui sauter dans les bras, réchauffant son cœur et son âme, lui donnant ainsi l'impression que cette maison, était encore la sienne. Montant lentement à l'étage, suivi de sa cadette qui ne cessait de parler, il arrêta devant sa chambre, prenant une grande inspiration, il l'ouvrit. En quatre ans, absolument rien n'avait changé, outre les traces de poussières ici et là qui s'avérait bien plus présente que lors de son départ, normal direz-vous. Sans prendre le temps de s'installer, de reprendre possession de cette chambre, il arpentait les photos toujours présentes, avant de s'allonger sur son lit, sombrant doucement dans un profond sommeil, bien plus confortable que lors du trajet en avion. Quelques jours plus tard, il apprit que sa mère était morte durant la nuit, n'ayant guère eut suffisamment de force pour vaincre le cancer avancé qui avait prit possession de son corps. Une nouvelle fois, il fût fort, solide, réconfortant ses sœurs qui acceptait sa présence, se présentant à l'enterrement un regard vide, dissimulant le trou béant qui grandissait au sein de son âme. Il n'y avait plus que lui et ses trois sœurs, plus personnes d'autres... Il n'avait plus de famille. Cela était il y a quatre mois maintenant...
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| | | A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| | Austin HemsworthAdministrateur
∞ messages : 1060 ∞ arrivé(e) le : 15/03/2014 ∞ Grain de sable : 86
What's up kangaroo ?∞ disponibilité: non. jules/bronte/taylor/coloc/violett/zach.
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∞ je suis: présent(e) | | Oscar RiedelSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 119 ∞ arrivé(e) le : 28/03/2014 ∞ Grain de sable : 40
| ✽ Mer 9 Avr - 15:50 | | Le frangin de Mimi Il est beau magad. Bienvenue bon choix de scénar ! |
| A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 9 Avr - 15:52 | | austin_ c'est toujours le meilleur qui débarque en dernier... comme ça, il est plus attendu encore merci beaucoup ! -louiiiiiiiis - oscar_ merciiiiii j'adore ton vava |
| Nevada HolmesI AM PROUD TODAY AND TOMORROW
∞ messages : 178 ∞ arrivé(e) le : 29/12/2013 ∞ Grain de sable : 0
| | A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| | Jaelyn A. BingAdministratrice
∞ messages : 386 ∞ arrivé(e) le : 27/02/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 9 Avr - 17:14 | | Bienvenue sur PAK. Bon courage pour ta fiche, excellent choix d'avatar ! |
| Ambre LeroyAdministratrice
∞ messages : 2100 ∞ arrivé(e) le : 29/12/2013 ∞ Grain de sable : 26
| ✽ Mer 9 Avr - 17:29 | | Wowowow comment ça le meilleur pour la fin ? On sait tous que c'est moi la meilleure . Non mais du coup je suis désolée mais tu vas devoir partir... JE RIGOLE ! Excellent choix de scénario bien sûr Bienvenue parmi nous, bon courage vu les deux soeurs que tu te tapes N'hésites pas si tu as la moindre question |
| A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 9 Avr - 17:41 | | merci beaucoup toutes les deux !!! ambre_ j'ai LE meilleur mais, tout le monde sait que LE meilleure à besoin de LA meilleure pour le compléter les deux font la paire, non héhé ! encore merci jolie demoiselle ! -holland quoi - |
| Silas RichardsonAdministrateur
∞ messages : 338 ∞ arrivé(e) le : 23/03/2014 ∞ Grain de sable : 19
| ✽ Mer 9 Avr - 18:09 | | aaaaah le frérot Holmes Excellent choix d'avatar ! Bienvenue et si tu as des questions, n'hésite pas ! |
| A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
∞ messages : 102 ∞ arrivé(e) le : 09/04/2014 ∞ Grain de sable : 0
| | Summer A. RossANGRY PEOPLE ARE NOT WISE
∞ messages : 141 ∞ arrivé(e) le : 15/03/2014 ∞ Grain de sable : 0
| ✽ Mer 9 Avr - 18:53 | | Bienvenue sur PAK ! |
| | | | ✽ Mer 9 Avr - 20:32 | | ton meilleur ami... #bitchplease |
| | ✽ Mer 9 Avr - 20:56 | | Ouais ! C'est mon meilleur ami.... Ne m'oblige pas à pourrir sa fiche |
| Scarlett P. CraneI AM PROUD TODAY AND TOMORROW
∞ messages : 320 ∞ arrivé(e) le : 14/03/2014 ∞ Grain de sable : 16
| ✽ Mer 9 Avr - 21:13 | | Bienvenue parmis nous ! Très bon choix de scénario et puis bon, Tyler quoi... ^^ Courage pour ta fiche ! |
| A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
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| | Lan NtlenyanaaANGRY PEOPLE ARE NOT WISE
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| | Victoria A. SorensenI DON'T WANT WHATEVER I WANT
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| ✽ Jeu 10 Avr - 16:26 | | Bienvenue sur PAK |
| Jules S. Kerr-AndersonAdministratrice
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| Clarissa LauwrenceSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
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| | A. Duncan HolmesSWEETS ARE A GOOD WAY TO BE HAPPY
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